PLANETE

Jaeger-LeCoultre poursuit son engagement pour protéger la planète

Par MyWatch

Le soutien qu’apporte Jaeger-LeCoultre à la conservation de trésors marins uniques s’inscrit dans une démarche de préservation des ressources les plus précieuses de notre planète. La Grande Maison et l’Unesco ont choisi la date du 22 avril 2015, 45ème anniversaire de la Journée mondiale de la Terre, pour mettre en avant le partenariat et dévoiler le nouveau film sur Glacier Bay National Park (USA), dans la boutique Jaeger-LeCoultre de New York. Une date symbolique qui invite à la réflexion sur les problèmes environnementaux.

Glacier Bay : exploration d’un laboratoire à ciel ouvert

Chaque année, Jaeger-LeCoultre rend hommage à l’un des sites marins inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco. Cette année, c’est la réserve naturelle de Glacier Bay, à la frontière canadienne de l’Alaska, qui est à l’honneur.

« La recherche scientifique est d’une importance capitale à Glacier Bay. La zone a été déclarée monument national américain en 1925 en raison de la possibilité unique qu’elle offre d’étudier les processus de succession des périodes glaciaires. C’est pourquoi les responsables de Glacier Bay encouragent aussi bien les recherches générales, comme la glaciologie et l’évolution du paysage, que des études plus appliquées axées sur les conséquences des incursions », explique Scott Gende, conseiller scientifique principal de Glacier Bay.

Véritable source d’inspiration pour tout défenseur des océans, ce parc était un choix évident pour Jaeger-LeCoultre. Son film retrace l’histoire du site, inscrit en 1992 sur la Liste du patrimoine mondial de l’Unesco qui abrite non seulement quelques-uns des derniers glaciers de la planète, mais aussi les plus grands champs de glace non polaires du monde, une forêt spectaculaire et de nombreux fjords. On y trouve des mammifères marins tels que des marsouins, des phoques, des lions de mer, plusieurs espèces de baleines ainsi que la célèbre loutre de mer, dont la précieuse fourrure faillit causer son extinction il y a quelques siècles.

Ces animaux marins vivent en parfaite harmonie à Glacier Bay, grâce à des règles de protection et à une gestion strictes. L’administration efficace du parc a permis à des espèces menacées comme la baleine à bosse et le lion de mer d’y trouver un refuge sûr.

Protéger les baleines

Bien avant son inscription au patrimoine mondial, Glacier Bay était déjà un lieu privilégié pour les recherches scientifiques. Alors que des baleines à bosse viennent s’alimenter dans cette zone pendant leur migration, des collisions avec les bateaux de croisière sont déjà survenues, leur causant des blessures parfois mortelles. En 2005, un programme de recherche a été lancé pour résoudre ce problème.

Depuis, tous les bateaux entrants sont contrôlés par les équipes du site. Ce projet est le premier d’une telle ampleur à recueillir continuellement des données sur l’interaction entre les bateaux et les grands mammifères marins. Lorsqu’ils s’engagent dans le parc, les bateaux ont à leur bord des cétologues qui repèrent chaque baleine de la zone avec des jumelles spéciales. Dès qu’une baleine est repérée, un message automatique est envoyé au capitaine du bateau, lui permettant d’ajuster sa trajectoire et sa vitesse. Les résultats de ce projet complexe ont servi à établir de nouvelles règles de navigation au sein de Glacier Bay qui ont considérablement réduit les risques pour les baleines à bosse, faisant de ce lieu unique leur refuge.

L’éthique commence chez soi

Engagé depuis 1833 dans une politique de développement durable locale, Jaeger-LeCoultre contribue également à la protection de l’environnement à l’échelle internationale grâce à un partenariat avec l’UNESCO. L’attachement de Jaeger-LeCoultre à protéger les sites marins n’est qu’une facette de sa politique générale de protection des ressources de la planète.

Fidèle à ses origines historiques au cœur de la Vallée de Joux en Suisse, Jaeger-LeCoultre a maîtrisé son expansion et a contribué à préserver le paysage unique de sa région grâce à ses exigences en matière de construction, de transport, d’énergie et de préservation de l’eau. Les labels Minergie et Hydro-locale décernés à la Marque attestent de sa responsabilité écologique en matière d’architecture, ses locaux répondant aux critères de faible consommation d’énergie et de production d’énergie renouvelable à partir de l’eau du lac et des rivières de la Vallée de Joux. En outre, la Manufacture a construit l’une des toutes premières usines de traitement des eaux de la région.

Une politique de mobilité responsable a été lancée avec la mise en place d’un service de bus comprenant 3 lignes gratuites en direction de la Manufacture pour les employés, une forte incitation au covoiturage et le remplacement de certaines voitures de fonction par des voitures électriques.

Jaeger-LeCoultre est par ailleurs très vigilant en ce qui concerne la provenance des diamants, de l’or et du cuir. Les diamants et pierres précieuses utilisés dans ses montres répondent tous au processus de Kimberley, assurant qu’ils ne proviennent pas de zones de guerre et que leur achat n’a pas servi à financer un quelconque conflit. Leur acquisition respecte également les normes du Responsible Jewellery Council. Les bracelets en cuir qui habillent des montres Jaeger-LeCoultre répondent aux normes de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES), qui garantissent l’absence de menace à la survie des animaux et des plantes sauvages commercialisées.

L’engagement de Jaeger-LeCoultre

Depuis 2008, la Marque soutient l’Unesco dans la protection des sites marins toujours plus nombreux inscrits sur la Liste du patrimoine mondial. Son engagement a sensibilisé davantage l’opinion publique mondiale sur la nécessité de préserver notre précieux héritage marin et a contribué au Programme marin du patrimoine mondial à Paris ainsi qu’à des projets de conservation sur le terrain au Brésil, aux Philippines, en Colombie, aux États-Unis et au Costa Rica.

Le programme a permis de doubler la zone marine protégée par la Convention du patrimoine mondial et d’établir un important réseau de gestionnaires de sites marins qui mettent en commun leur expertise et leurs bonnes pratiques. La passion de Jaeger-LeCoultre pour le monde sous-marin est née il y a bien longtemps. En 1959, la Manufacture présentait sa première montre de plongée : la Memovox Deep Sea, première montre automatique à être pourvue d’une alarme. Le profond attachement de la Marque aux océans lui a fait prendre conscience de la fragilité actuelle de l’équilibre qui régit les écosystèmes marins. C’est pourquoi Jaeger-LeCoultre poursuit son engagement à préserver cet héritage naturel inestimable afin qu’il continue à émerveiller nos enfants et petits-enfants.

Geophysic® 1958 : un hommage à la science et à la précision horlogère

En 1958, pour célébrer la première Année Géophysique Internationale, ainsi que le 125e anniversaire de la Manufacture, Jaeger-LeCoultre créait le chronomètre Geophysic®. Le chronomètre incarnait l’excellence horlogère suisse et les connaissances scientifiques de l’époque. Près de 70 nations participèrent à l’Année Géophysique Internationale pour soutenir la recherche scientifique. Jaeger-LeCoultre s’est inspiré de cette initiative pour créer le Chronomètre Geophysic® Référence E 168, une montre d’une grande précision et d’une conception à toute épreuve, résistant aux champs magnétiques, aux chocs et à l’immersion. Ces propriétés en ont fait un modèle de choix pour les équipages navigant jusqu’au pôle Nord, où la puissance des champs magnétiques est à son comble.

L’Année Géophysique Internationale 1957-1958 a marqué le début d’une nouvelle ère de découvertes scientifiques et vu l’émergence d’une myriade de nouvelles technologies. Elle s’est traduite par 18 mois de recherches en Antarctique et a transformé les deux pôles en objets d’étude et d’expérimentation. En août 1958, le premier sous-marin nucléaire au monde, baptisé Nautilus, traversa l’Arctique sous la banquise au cours d’un voyage historique de trois jours. Le Chronomètre Geophysic® était le cadeau parfait pour l’homme qui venait de mener la toute première expédition sous le pôle Nord.

Fier d’avoir contribué à ces entreprises extraordinaires, Jaeger-LeCoultre a rendu hommage à cette montre légendaire en dévoilant l’année dernière deux montres exclusives, un modèle en acier et or rose et un modèle en platine.

Mark Kelley, photographe d’Alaska et explorateur moderne qui a passé plus de deux cents jours à Glacier Bay National Park, a rejoint Jaeger-LeCoultre et l’UNESCO sur place et porter la montre Geophysic® 1958 pour capturer l’écosystème unique de la région et les efforts déployés par les scientifiques et les gestionnaires pour préserver le site.

World Heritage Marine Programme
HYPERLINK « http://whc.unesco.org/en/marine-programme/ »

  • Glacier Bay National Park ©Mark Kelley
  • Chute de blocs de glace - Glacier Bay National Park ©Mark Kelley
  • Fanny Douvere, coordinatrice du programme UNESCO World Heritage Marine ©Mark Kelley
  • Glacier Bay National Park ©Mark Kelley
  • Glacier Bay National Park ©Mark Kelley
  • Glacier Bay National Park ©Mark Kelley
  • Baleine à bosse ©Mark Kelley
  • Protection des baleines à bosse ©Mark Kelley
  • Glacier Bay National Park ©Mark Kelley
  • Glacier Bay National Park ©Mark Kelley
  • Making off de la vidéo Glacier Bay National Park ©Mark Kelley
  • Making off de la vidéo Glacier Bay National Park ©Mark Kelley
  • Mark Kelley
  • Camareux ©Mark Kelley
  • Camareux ©Mark Kelley
  • Un scientifique et Fanny Douvere ©Mark Kelley
  • ©Mark Kelley
  • Lions de mer ©Mark Kelley
  • Phoques ©Mark Kelley
  • Jaeger-LeCoultre Geophysic® 1958 - Glacier Bay National Park ©Mark Kelley
  • Jaeger-LeCoultre Geophysic® 1958 - Glacier Bay National Park ©Mark Kelley