Notre sélection de Noël à la boutique Lassaussois « Les Montres – Les Bijoux »
C’est bientôt l’heure des cadeaux ! Fidèles à leur tradition, Frank Sans C et Jean Lassaussois ont sélectionné de vraies petites merveilles à glisser sous le sapin. Bvlgari, Breitling, Cartier, Chanel, Hublot, Omega, TAG Heuer, Tissot, Trilobe, Tudor ou encore Zenith. Une sélection de Noël placée sous le signe de l’excellence horlogère - comme toujours – avec en plus des bijoux et quelques accessoires de très grande qualité !
BVLGARI, Serpenti Seddutori Automatic
En début d’année, Bvlgari a encore franchi une étape majeure en intégrant, pour la première fois, dans l’iconique Serpenti, un calibre automatique. Baptisé Lady Solotempo, ce mouvement inédit — fruit de trois ans de développement — rejoint désormais le cercle très fermé des calibres emblématiques de la Maison, aux côtés des Solotempo et Finissimo.

Compact et sophistiqué, le nouveau calibre affiche 19 mm de diamètre pour seulement 3,90 mm d’épaisseur, tout en offrant une réserve de marche d’environ 50 heures. Son architecture ronde s’adapte idéalement aux courbes sensuelles de la Serpenti, et Bvlgari a tenu à mettre en lumière cette prouesse technique. Résultat : un fond transparent qui révèle chaque rouage, et une masse oscillante ornée de sept écailles, clin d’œil direct aux mailles du bracelet.

Notons que ce mouvement de haute précision pourra équiper d’autres mouvements de différentes marques du groupe LVMH et sera fabriqué dans les ateliers de Zenith. La collection Serpenti Seduttori Automatic se décline en sept modèles, du tout or rose à l’or jaune, en passant par l’acier ou les versions bicolores. Cadrans opaline, laqué noir ou totalement pavés de diamants : chaque création affiche une personnalité affirmée, sublimée par une couronne sertie d’une rubellite cabochon, ou d’un saphir bleu pour l’interprétation en or blanc et diamants.
Pour en savoir plus, n’hésitez pas à lire notre article dédié au calibre Lady Solotempo écrit à l’occasion de la LVMH Watch Week 2025 :
Consulter la fiche technique de la Serpenti Seduttori Automatic en acier, or rose et diamants – 19 100 euros
CARTIER en mode mini avec la Santos et la Baignoire
Cartier remet les pendules à l’heure du style avec la Santos en version petit modèle, une pièce qui prouve qu’en taille réduite, elle n’a rien perdu de son pouvoir. Digne héritière de la montre conçue en 1904 pour l’aviateur Santos-Dumont par son ami Louis Cartier, cette version remet en lumière l’essence même du design de la Maison : précision, élégance et fonctionnalité.

Dans un format de 27 × 34,5 mm pour 7,08 mm d’épaisseur, la montre condense tout ce qui fait l’ADN de la Santos : lunette carrée ponctuée de vis, angles subtilement arrondis, bracelet intégré et cadran signature aux chiffres romains parcourus d’un chemin de fer. Une silhouette immédiatement identifiable. S’inscrivant dans la mouvance des « mini-montres », ce modèle privilégie le mouvement à quartz pour offrir finesse et précision.

Les différentes versions – acier, bicolore et or jaune – sont équipés de bracelets interchangeables munis des systèmes QuickSwitch et SmartLink, permettant de changer ou d’ajuster le bracelet en quelques secondes. Simple et intuitif. Ni “féminine”, ni “masculine”, la Santos de Cartier petit modèle revendique un statut à part : celui d’une icône unisexe.
Consulter la fiche technique de la Santos de Cartier en acier – 6 550 euros.
Consulter la fiche technique de la Santos de Cartier en acier et en or jaune – 10 800 euros.
Consulter la fiche technique de la Santos de Cartier en or jaune – 33 300 euros
La Baignoire de Cartier, mini modèle
Mini, mais maxi allure : la vague des petites montres continue de déferler, et Cartier surfe en tête avec sa mythique Baignoire. Icône depuis plus d’un siècle, l’ovale sensuel de cette montre-bijou se réinvente dans un format miniature qui capte l’air du temps. Sur ce boîtier réduit à l’essentiel, la lunette godronnée s’impose, sculpturale, comme un bijou à part entière.

La glace bombée accentue la douceur des lignes et encadre un cadran argenté d’une élégance cristalline. Déclinée en versions tout diamants, en or jaune sur cuir ou en jonc intégral, la Baignoire reste fidèle à elle-même tout en se prêtant à toutes les audaces. Dans sa version mini, elle joue la carte du chic radical : mouvement à quartz, boîtier en or jaune, couronne perlée ornée d’un cabochon de saphir, aiguilles bleuies en forme de glaive, bracelet en veau vernis noir et signature secrète dans la barre du « X ». Avec ses 24,6 x 18,7 mm pour 7,2 mm d’épaisseur et une étanchéité à 30 mètres, elle s’impose comme un concentré de style signé Cartier.

Consulter les détails techniques de la Baignoire de Cartier, mini modèle – 8 850 euros
Voir l’émission et lire notre article sur les mini montres :
CHANEL, J12 Bleu
Cinq ans de recherche, une infinité d’essais, une exigence qui frôle l’obsession : obtenir le bleu Chanel, ce bleu rigoureux, presque noir, imaginé par Arnaud Chastaingt. La maison ne s’est rien épargnée. Pour créer cette céramique haute résistance bleu mat, Chanel contrôle chaque étape : choix des poudres, déliantage, frittage supervisé au degré près, puis polissage méticuleux. Sept étapes, zéro compromis.

Cette nouvelle matière, à la fois mate, profonde et inrayable, devient la signature de la dernière J12 Bleu, une montre qui pousse l’expertise horlogère et la créativité à leur point de fusion. Les contrastes se jouent comme des effets de scène : le bleu mat répond à l’acier traité noir, les reflets vernis s’opposent aux textures minérales. A l’image de cette J12 Bleu Calibre 12.1 en 38 mm de diamètre, la pièce s’impose comme une déclaration stylistique autant qu’un manifeste technique et affirme immédiatement son identité. Au dos, un fond en saphir gravé “LIMITED EDITION” rappelle son exclusivité. La lunette fixe en acier traité noir est soulignée par une bague en céramique bleu mat au motif baguette, tandis que le cadran bleu mat verni est ponctué d’index en vernis noir.

La couronne vissée, elle aussi en acier revêtu de noir, est coiffée d’un cabochon en céramique bleu mat, et le bracelet se ferme grâce à une boucle triple déployante en acier noirci. Au cœur de ce modèle, étanche à 200 mètres, bat le Calibre 12.1, un mouvement automatique de manufacture automatique développé par Kenissi, certifié chronomètre par le COSC. Son rotor ajouré alimente une réserve de marche d’environ 70 heures.
Veuillez voir ou revoir l’émission tournée au dernier salon Watches and Wonders où Frank Sans C s’est extasié devant cette nouvelle collection.
Consulter la fiche technique de la Montre J12 Bleu Calibre 12.1, 38 MM – 11 000 euros
Consulter toutes nos autres fiches techniques des montres de la collection Chanel J12 Bleu.
OMEGA, Seamaster Planet Ocean
Omega plonge au cœur de son histoire pour dévoiler la 4e génération de la Planet Ocean. Sept nouveaux modèles, trois palettes chromatiques, une silhouette affinée et une totale refonte technique : la montre de plongée iconique entre dans une nouvelle ère, plus robuste et plus technique que jamais. Première évolution frappante : une architecture de boîtier entièrement repensée. La manufacture puise dans les Seamaster des années 1980 et 1990 pour façonner une carrure aux surfaces anguleuses et tendues, renforcée par une bague intérieure en titane. Un choix stratégique, hérité des recherches menées pour la Planet Ocean Ultra Deep, qui offre une résistance accrue et garantit l’étanchéité à 600 mètres tout en conservant l’ADN esthétique des modèles historiques.

Cette construction innovante permet un exploit : malgré leurs 42 mm, les nouvelles Planet Ocean sont nettement plus fines. L’épaisseur passe de 16,1 mm à seulement 13,79 mm, grâce à un verre saphir désormais plat et un travail d’ingénierie minutieux sur la lunette et le boîtier. Le fond plein en titane grade 5, vissé, remplace le verre saphir. Il renforce la robustesse de la montre et affiche un hippocampe gravé, entouré du traditionnel bord ondulé. La lunette, justement, reste l’un des terrains d’innovation majeurs. La Maison maîtrise mieux que jamais les défis de la céramique colorée, particulièrement l’orange — une signature de la Planet Ocean, mais un pigment difficile à stabiliser. Résultat : une nouvelle céramique orange [ZrO2] éclatante, durable et profonde, déclinée sur plusieurs modèles. À ses côtés, des lunettes bleues et noires s’enrichissent d’échelles de plongée en émail ou en céramique hybride.


Fond de boîtier en titane gravé de l’hippocampe Omega.
Sur le cadran noir mat, Omega modernise subtilement le visage de sa plongeuse : aiguilles flèche, index massifs en Super-LumiNova et désormais chiffres arabes ajourés, plus carrés, plus nets, en écho à la Planet Ocean originelle. L’ensemble gagne en cohérence stylistique, en particulier avec les nouveaux bracelets redessinés, plus fins, intégrés au boîtier, et réglables sur six positions. Acier ou caoutchouc — dont un orange vitaminé – tous conservent l’extension de plongée.

Orange explosif, bleu profond ou noir technique : chaque déclinaison affirme une personnalité forte, mais c’est surtout la mécanique invisible qui marque cette génération. Les différentes itérations sont animées par un mouvement à remontage automatique avec échappement Co-Axial, certifié Master Chronometer, approuvé par l’Institut fédéral de métrologie (METAS). Résistant à des champs magnétiques jusqu’à 15 000 gauss, il est doté d’un spiral en silicium et offre environ 60 heures de réserve de marche.
À partir de 8 400 euros.
Consulter toutes les fiches des nouvelles Seamaster Planet Ocean 600M.
TAG HEUER, Connected Calibre E5 Golf Edition
TAG Heuer renforce son engagement dans le sport avec la Connected Calibre E5 Golf Edition, un modèle qui conjugue design robuste et capacités techniques avancées. Son boîtier de 45 mm en titane DLC noir grade 2, protégé par un verre saphir plat, accueille un écran AMOLED de 1,39 pouce (454 × 454, 326 dpi) offrant une lisibilité optimale. La montre fonctionne grâce à un processeur Qualcomm Snapdragon 5100+ et au système TAG Heuer OS, supporté par une interface comprenant une couronne mécanique, deux boutons-poussoirs, un micro, un haut-parleur et un retour haptique.

Pour les coureurs, l’instrument propose des programmes d’entraînement structurés, s’appuyant sur un ensemble de capteurs différents : fréquence et variabilité cardiaques, SpO₂, fréquence respiratoire, accéléromètre, gyroscope, baromètre et suivi du sommeil. La localisation bénéficie d’un GNSS double bande, compatible GPS, GLONASS, Galileo, BeiDou et QZSS, améliorant nettement la précision dans les environnements complexes. L’autonomie atteint deux jours en usage normal, trois en mode Low Power. Une recharge complète demande 90 minutes et 30 minutes suffisent pour obtenir une journée d’utilisation.

L’application Sports a été repensée afin de faciliter l’accès aux données essentielles en temps réel. Pour le golf, discipline emblématique de la gamme Connected, la Calibre E5 se distingue par une lunette gravée indiquant les 18 trous et par un bracelet en caoutchouc bicolore dont la texture s’inspire des alvéoles de la petite balle blanche. Le modèle permet d’afficher la carte du parcours avec un zoom automatique évoluant selon la progression du joueur et propose une fonctionnalité d’auto-scoring autonome. Il donne également accès à plus de 40 000 parcours téléchargeables dans le monde. Les algorithmes de détection de coups ont été optimisés et la convergence GPS est annoncée trois fois plus rapide que sur la génération précédente. Étanche à 50 mètres et compatible Bluetooth 5.3, Wi-Fi et MFi, la TAG Heuer Connected Calibre E5 Golf Edition se positionne comme un outil ultra complet pour les sportifs.
2 400 euros
Consulter les détails techniques de la TAG Heuer Connected E5 Golf Edition.
TAG HEUER, Connected E5 x New Balance Edition


En associant son savoir-faire horloger à la mythique griffe sportive New Balance, TAG Heuer signe une collaboration calibrée pour celles et ceux qui vivent le running comme un véritable credo. Voici donc la TAG Heuer Connected Calibre E5 x New Balance et la sneakers FuelCell SuperComp Elite v5 : un duo pensé pour les coureurs qui dissèquent chaque foulée, planifient leur moindre kilomètre et appréhendent l’entraînement comme un rituel quasi sacré. De son côté, la montre réunit ainsi précision suisse et culture running dans une approche moderne et accessible. Son boîtier en titane grade 2, traité DLC noir, coche toutes les cases : ultra-léger, résistant, et surtout confortable pour encaisser les séances les plus exigeantes. Son fini sablé — à l’allure athlétique et contemporaine — limite rayures et reflets, parfait pour courir sous n’importe quelle météo.

Le cadran inaugure une échelle inédite de 0 à 100 synchronisée avec les données d’entraînement de l’application, offrant un feedback instantané sur les performances. TAG Heuer pousse la collaboration jusqu’au bracelet avec le « Cushion Comfort System », une innovation brevetée mêlant base en caoutchouc souple et textile technique inspiré de l’insert de chaussure : un savant cocktail de robustesse, style et confort. La montre est livrée avec un second bracelet orné d’un logo brodé et pensé pour un maintien renforcé pendant les séances intensives. Côté style, impossible de passer à côté du violet profond English Purple, parfaitement assorti aux New Balance FuelCell SuperComp Elite v5, des chaussures de course ultralégères dotées d’une plaque carbone et d’une semelle intermédiaire en PEBA réactive. L’équipement idéal pour celles et ceux qui visent la victoire — à la seconde près.

2 000 euros
Consulter les détails techniques de la montre TAG Heuer Calibre E5 x New Balance Edition.
TISSOT, PRC 100 Solar
Chez Tissot, on a décidé de ne plus seulement admirer la lumière… mais de la capturer. Avec la PRC 100 Solar, la marque transforme chaque rayon – naturel ou artificiel – en énergie pure. Une montre qui se nourrit de lumière ? Oui, et elle le fait avec un sérieux qui frôle l’insolence technique. Au cœur de cette montre nouvelle génération bat un mouvement quartz suisse, connu pour sa précision redoutable et sa consommation d’énergie minimaliste.

Mais la véritable révolution s’appelle ici Lightmaster Solar. Oubliez les panneaux photovoltaïques visibles et peu élégants : la PRC 100 Solar dissimule ses cellules solaires microscopiques alvéolaires sous la glace saphir. Résultat : un cadran parfaitement épuré. La lumière traverse le verre, alimente les cellules, puis l’énergie est transmise au mouvement par un connecteur zebra intégré dans la boîte.

Le surplus ? Il est stocké dans un accumulateur rechargeable, capable d’offrir jusqu’à 14 mois d’autonomie dans l’obscurité totale après une charge complète. Autant dire que même un tiroir le plus sombre ne viendra pas à bout de sa réserve. Mieux encore : dix minutes de lumière suffisent pour tenir 24 heures. En clair, le simple fait de porter la montre au quotidien peut théoriquement la faire fonctionner indéfiniment.

Côté fiabilité, rien n’est laissé au hasard. Un indicateur EOE (End of Energy) prévient que la batterie est faible grâce à un saut de l’aiguille des secondes toutes les quatre secondes. Les aiguilles et les index, quant à eux, profitent du Super-LumiNova® pour rester parfaitement lisibles dans l’obscurité. Le tout est logé dans un boîtier en acier étanche à 100 mètres. En bonus, Tissot accompagne cette PRC 100 Solar d’une garantie de trois ans, preuve qu’ici, la lumière n’est pas qu’un argument marketing : c’est une promesse de longévité.
À partir de 445 euros
Consulter toutes les fiches des Tissot PRC 100 Solar en 39 mm et les PRC 100 Solar en 35 mm.
TRILOBE, Nuit Fantastique Secret

Avec la Nuit Fantastique Secret, Trilobe intègre un dispositif inédit : un cadran entièrement personnalisé, reproduisant la carte du ciel correspondant à une date, un lieu et une heure choisis par le futur propriétaire. Cette représentation astronomique est générée grâce à un algorithme comprenant 1600 constellations, fondé sur les travaux de Jean Meeus dans Calculs astronomiques à l’usage des amateurs. Capable de restituer un ciel passé comme futur, il garantit à chaque montre une signature véritablement unique. L’affichage se révèle encore plus spectaculaire à la nuit tombée. Après exposition à une lumière UV, les étoiles tampographiées s’illuminent, créant une lecture nocturne où les constellations s’animent sous le verre saphir.

Au centre, un nouveau module de phase de lune enrichit la complication : deux astres, gravés au laser sur laiton, évoluent sous un disque azuré, renforçant la profondeur du cadran.
D’une grande poésie, la montre embarque le calibre automatique X-Centric, développé exclusivement par la marque. Ce mouvement élaboré en interne, équipé d’un micro-rotor, associe finesse (5,78 mm d’épaisseur) et performance, avec 48 heures de réserve de marche.

Fidèle à l’ADN de la Maison, il propose une lecture du temps par trois anneaux tournants — heures, minutes et secondes — évoluant sur un même plan, concept breveté qui distingue Trilobe dans le paysage horloger contemporain. Le boîtier en titane grade 5 alterne les finitions satinées et poli-miroir. Étanche jusqu’à 50 mètres, il est doté d’une lunette bombée, d’une glace saphir double antireflet et d’un fond transparent. Deux tailles sont proposées : 38,5 mm ou 40,5 mm.
16 200 euros
Consulter les détails techniques de la Trilobe Nuit Fantastique Secret.
TUDOR, Ranger
Depuis les années 1950, les montres Tudor accompagnent les explorateurs dans les environnements les plus extrêmes, des glaces de la British North Greenland Expedition aux dunes brûlantes du Rub’ al Khali traversées aujourd’hui dans le cadre du Dakar. Les nouveaux modèles Ranger s’inscrivent pleinement dans cet héritage d’expédition, en introduisant aujourd’hui deux évolutions majeures : un diamètre supplémentaire de 36 mm et un nouveau cadran « dune white » à la finition mate.

Pensée comme une véritable montre-outil, la Ranger reste fidèle aux caractéristiques qui ont sa réputation. Son boîtier en acier 316L satiné —proposé aussi en 39 mm — renforce sa robustesse. Le nouveau cadran « dune white », discret mais fortement identitaire, rend hommage aux conditions extrêmes du Dakar : chaleur écrasante, sols rocailleux et immensité désertique. La lisibilité et l’efficacité priment, avec les aiguilles recouvertes de Super-LumiNova de couleur verte.

L’histoire de la collection remonte à 1929, lorsque l’appellation « Ranger » est enregistrée pour conférer une dimension aventurière à certaines pièces Tudor. L’esthétique actuelle apparaît dans les années 1960 : grands chiffres arabes luminescents aux positions cardinales, aiguilles singulières et architecture simple et robuste. Au fil du temps, la Ranger a connu de nombreuses déclinaisons, jusqu’à la version à bracelet intégré « Ranger II » lancée en 1973. Les nouveaux modèles perpétuent cette tradition tout en intégrant des avancées techniques contemporaines.

Ils sont équipés des calibres automatiques de manufacture MT5400 (36 mm) et MT5402 (39 mm). Leur balancier à inertie variable, maintenu par un pont traversant à double ancrage, associé à un spiral en silicium amagnétique, permet une certification chronomètre par le COSC, avec des tolérances supérieures aux exigences de l’institution : seulement –2 à +4 secondes par jour. La réserve de marche de 70 heures, dite « weekend proof », assure une autonomie confortable.

La Ranger est proposée sur un bracelet acier intégrant le système d’ajustement rapide T-fit, permettant une mise à la taille instantanée sans outil. Une alternative plus aventurière existe avec le bracelet tissu tissé de façon artisanale par la maison Julien Faure.

Consulter les fiches techniques de la Ranger en 36 mm – acier – bracelet acier et cadran beige ou cadran noir – 3 450 euros
Consulter les fiches techniques de la Ranger en 36 mm – acier – bracelet NATO – cadran beige ou cadran noir – 3 120 euros
Consulter les fiches techniques de la Ranger en 39 mm – acier – bracelet en acier – cadran noir ou beige – 3 560 euros
Consulter les fiches techniques de la Ranger en 39 mm – acier – bracelet NATO- cadran noir ou beige – 3 230 euros
ZENITH, Coffret

LE COFFRET DÉDIÉ
Prix du coffret avec les trois montres : 65 000 euros / plus le modèle G.F.J : 117 900 euros
Consulter les fiches techniques de la montre :
Pilot Big Date Flyback 160th Anniversary Edition – 16 500 euros
Defy Skyline Chronograph 160th Anniversary Edition – 24 800 euros
Chronomaster Sport 160th Anniversary Edition – 23 700 euros
G.F.J. Calibre 135 – 52 900 euros
LES MONTRES AU POIGNET…
De Jean Lassaussois…

9 500 euros
Consulter la fiche technique de la Breitling Navitimer B01 Chronograph 41.
…et de Frank Sans C

8 200 euros – en 42 mm
Consulter les détails techniques de la Classic Fusion Titanium Blue en 42 mm.
AU RAYON BIJOUX




INDISPENSABLES ACCESSOIRES



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58 rue de Rennes, Paris 6e
Tél : 01 46 34 71 38
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