OMEGA aux Jeux Olympiques de Sotchi

Par MyWatch

OMEGA et les Jeux Olympiques d’hiver :
78 ans de passion à Sotchi 2014 !

À quelques jours seulement de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi 2014, le 7 février 2014, les neuf horloges OMEGA réparties sur l’ensemble du territoire russe ont bientôt fini d’égrener les jours, les heures, les minutes et les secondes qui nous séparent de l’événement. OMEGA est prête à endosser son costume de chronométreur officiel pour la 26e fois depuis 1932. À partir du 7 mars, la Marque restera mobilisée pour les Jeux Paralympiques d’hiver.

En 1936, OMEGA vivait ses premiers Jeux Olympiques d’hiver à Garmisch-Partenkirchen en Allemagne. Un technicien fut chargé d’acheminer 27 chronomètres OMEGA pour l’ensemble des épreuves. Depuis plus de 75 ans, la Marque enrichit sa tradition d’innovation. Elle a développé et introduit certaines des technologies de chronométrage sportif les plus sophistiquées au monde.

La présence d’OMEGA passera difficilement inaperçue lors des Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi 2014 : 260 techniciens sur site, secondés par 170 volontaires spécialement formés, s’appuieront sur 230 tonnes de matériel, dont 30 panneaux d’affichage publics, 90 panneaux de compétition et 78 km de câbles et de fibre optique, sans oublier les technologies de pointe en matière de chronométrage et de traitement des données développées par OMEGA et adaptées aux exigences de chaque sport.

Forte d’une culture fermement ancrée dans l’univers du sport, OMEGA se réjouit de participer à une nouvelle édition des Jeux Olympiques et Paralympiques, qui verront les plus grands athlètes au monde se disputer l’or au bord de la Mer Noire. En tant que chronométreur officiel, OMEGA est fière de travailler avec le CIO, les fédérations sportives et les athlètes afin d’assurer que les technologies de chronométrage employées lors des Jeux Olympiques et Paralympiques d’hiver de Sotchi 2014 permettent de trancher les situations les plus indécises dans le respect de l’esprit olympique.

GRANDES HEURES DU CHRONOMÉTRAGE AUX JEUX OLYMPIQUES D’HIVER

À l’occasion des Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi 2014, OMEGA, chronométreur officiel, revendique plus de cent ans d’expérience lors des grands événements sportifs internationaux et un héritage olympique qui date de 1932. Les équipes de chronométrage et de traitement des données OMEGA s’appuieront sur l’expertise engrangée au cours des 25 dernières éditions des Jeux Olympiques et sur les compétences qui ont donné à la Marque sa réputation inégalée dans le chronométrage sportif de précision.

Voici une rétrospective des moments les plus marquants d’OMEGA aux Jeux Olympiques.

1932
Cette édition a fait date dans l’histoire du chronométrage sportif : Omega devient chronométreur officiel des Jeux Olympiques de Los Angeles, fournissant 30 chronographes haute précision bénéficiant tous de la certification chronomètre émise par le COSC à Neuchâtel. Ce certificat de précision a joué un rôle non négligeable dans le choix final du CIO. Les résultats officiels étaient exprimés en cinquièmes et en dixièmes de seconde.

1948
Omega utilise pour la première fois la cellule photoélectrique aux Jeux d’hiver de Saint Moritz. Mobile, étanche et indépendante du réseau électrique, cette cellule pouvait également résister à d’importantes variations de températures. Sa technologie infrarouge était insensible aux réflexions parasites générées par le soleil et les flashes des appareils photo. Pour la première fois, le système de chronométrage se déclenche automatiquement à l’ouverture du portillon de départ.

1956
Les portillons de départ font leur apparition en ski alpin aux Jeux d’hiver de Cortina d’Ampezzo en Italie. Le chronomètre se déclenche automatiquement par un système de feu tricolore acoustique, le signal de départ étant synchronisé au compte à rebours matérialisé par les lumières rouge, orange et vert.

1964
Inventé en 1961, l’Omegascope permet l’introduction de la notion de temps réel en retransmission sportive grâce à l’incrustation de chiffres lumineux en bas de l’écran. Une révolution en chronométrage qui ne laisse plus aucune marge d’erreur dans la mesure où l’information est partagée avec des millions de téléspectateurs. Cet outil fut utilisé lors des Jeux d’hiver d’Innsbruck en 1964, qui furent la première édition entièrement électronique. Jamais auparavant des personnes non présentes sur le lieu de compétition n’avaient pu être informées aussi rapidement des résultats.

1968Le notion de chronométrage intégré fait son apparition aux Jeux de Grenoble, les équipements automatiques et électroniques étant associés pour la première fois. Les résultats et analyses statistiques sont transmis aux juges, aux entraîneurs, aux médias, et dans une moindre mesure, au public. La naissance de l’imprimante photo permet une distribution des résultats plus rapide que jamais. Tous ces éléments marquent un tournant pour OMEGA : l’entrée dans l’ère du chronométrage moderne.

1980
L’Omega Game-O-Matic, qui calcule et affiche le classement d’un athlète au moment où il franchit la ligne d’arrivée, est employé pour la première fois aux Jeux de Lake Placid.

1988
Pour la première fois lors des Jeux de Calgary, les chronos, résultats et statistiques sont enregistrés dans des bases de données pour la postérité.

1992
À l’occasion des JO d’hiver 1992 d’Albertville, l’épreuve de patinage de vitesse bénéficie du système Omega Scan-O-Vision, qui effectue des mesures numériques au millième de seconde lors du passage de la ligne d’arrivée. Ce dispositif permet de photographier le temps en synthétisant les chronos et l’image continue en un seul et même document. Un nouveau chapitre s’ouvre pour la science du chronométrage.

2006
Aux Jeux d’hiver de Turin en 2006, des transpondeurs sont attachés aux chevilles des patineurs de vitesse pour permettre aux officiels de mesurer les accélérations soudaines, la vitesse atteinte dans les virages à épingle à cheveu ou lors des chutes occasionnées par les contacts.

2010
La grande première technologique des JO d’hiver de Vancouver a été le nouveau système de démarrage électronique. L’un des objets les plus symboliques des Jeux Olympiques est sans conteste le pistolet du starter évoquant les revolvers dignes des célèbres westerns. Mais à Vancouver, cet accessoire est remplacé par un appareil futuriste et aérodynamique consistant en un pistolet flash doublé d’un générateur sonore. Lorsque le starter presse la détente, cela provoque trois événements simultanés : l’émission d’un son, la projection d’un rai de lumière et le déclenchement du système de chronométrage. Une deuxième pression moins de deux secondes plus tard déclenche un signal sonore de faux départ. Il est possible de modifier les sons et de les télécharger informatiquement.

LES TECHNOLOGIES DE CHRONOMÉTRAGE À l’ŒUVRE AUX JEUX OLYMPIQUES D’HIVER DE SOTCHI 2014

Unité de mesure OMEGA : Vitesse et accélération en bobsleigh
OMEGA inaugurera à Sotchi une technologie permettant de fournir instantanément aux concurrents, à leur équipe et aux téléspectateurs du monde entier des données décisives lors des courses de bobsleigh. Ces informations seront récoltées grâce à une unité de mesure OMEGA montée sur chaque bobsleigh.

Ce nouveau dispositif innovant se compose d’un capteur de vitesse, d’un capteur d’accélération 3D et d’un capteur gyroscopique 3D, qui transmettent tous des données en temps réel.

Le capteur de vitesse enregistre la vitesse du bob sur l’ensemble du parcours. Le capteur gyroscopique 3D détermine en continu la vitesse angulaire du bob. La vitesse angulaire permet de mesurer la vitesse de rotation du bob dans les galeries, exprimée généralement en tours par unité de temps (tours/minute par exemple). La direction du vecteur vitesse angulaire est orthogonale au plan de rotation. Le capteur d’accélération 3D permet d’évaluer en continu les forces qui s’exercent sur le pilote lors du parcours, chaque axe mesurant un paramètre différent.

L’unité de mesure OMEGA est d’une aide précieuse pour les bobeurs et leur équipe : elle leur donne accès à des données instantanées qui leur permettent de s’adapter et d’optimiser leurs programmes d’entraînement en conséquence.

Phase de développement
Le développement de l’unité de mesure OMEGA, qui a débuté en octobre 2011, a présenté des défis particulièrement intéressants. D’un côté, les données devaient être suffisamment complètes pour offrir des analyses approfondies aux entraîneurs et aux techniciens à l’issue des courses. D’un autre côté, il apparaissait indispensable s’assurer une transmission sans fil quasi instantanée combinée à un traitement des données simple et efficace pour pouvoir assurer l’affichage en temps réel des informations.

Le développement de cet appareil s’est effectué initialement dans le cadre du circuit Omega Monobob Series, championnat de bob monoplace lancé par la Marque. La configuration de ces petits bobs monoplaces a permis de perfectionner cette technologie très rapidement.

Un prototype relativement simple a ainsi pu être assemblé. À ce stade de la conception, les ingénieurs avaient laissé de côté certaines fonctions telles que la transmission sans fil, qui se révélerait déterminante par la suite. Le capteur de données devait être raccordé à un mini ordinateur de bord encastré dans le châssis du bob. Naturellement, le prototype était alors très lourd et volumineux, mais les trois capteurs fonctionnaient correctement.

Fin 2011, l’équipe d’ingénieurs a alterné tests en extérieur et en intérieur à intervalles rapprochés. Début 2012, un premier clip vidéo était disponible, composé de prises de vue en direct associées à des incrustations graphiques intégrées après la course à partir des données synchronisées générées par les capteurs.

La majeure partie de l’année 2012 a été consacrée à l’amélioration du système de transmission sans fil. Après des mois d’évaluation suivis d’un remodelage du prototype, l’unité était prête pour une phase de test intensive à l’orée de la saison 2012/2013. Il est vite apparu que la plupart des objectifs initiaux avaient été remplis, notamment la transmission de données en direct et l’incrustation d’informations issues de plusieurs bobs sur les écrans de télévision.

Après avoir entièrement satisfait aux phases de tests, l’unité de mesure OMEGA est prête à ajouter encore un peu d’adrénaline aux épreuves de bobsleigh à l’occasion des Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi 2014.

Système de départ électronique
Le pistolet électronique inauguré à Vancouver devrait une nouvelle fois monopoliser l’attention du public. Après ses apparitions remarquées en 2010 puis en 2012 à Londres, le pistolet rouge, qui semble tout droit sorti d’un film de science-fiction, continue de passionner les foules.

Lorsque le starter presse la détente, cela provoque trois événements simultanés :
• la projection d’un rai de lumière,
• l’émission d’un son via les haut-parleurs
• et le déclenchement du système de chronométrage. Une deuxième pression moins de deux secondes plus tard déclenche un signal sonore de faux départ.

Au nombre de cinq, ces pistolets seront utilisés pour le patinage de vitesse et le patinage de vitesse sur piste courte. Ce système fut utilisé lors des Jeux de Londres 2012 pour le cyclisme sur piste.

OMEGA a décidé en partie de développer ce dispositif pour mieux faire face au durcissement des mesures de sécurité dans les aéroports et dans les stades. Un pistolet de départ classique n’est en réalité qu’une arme à feu modifiée ne pouvant tirer que des balles à blanc. Mais sa forme suspecte provoque un sérieux remue-ménage aux
portiques de sécurité.

Caméra photo-finish Scan’O’Vision
?Même avec toute la bonne volonté du monde, l’œil humain a ses limites. Sur la ligne d’arrivée, celui-ci a été remplacé par une cellule photoélectrique ultra-sensible qui arrêtait instantanément le chronographe, tandis qu’un courant électrique ultra rapide mettait fin aux incohérences dues aux temps de réaction variables des chronométreurs. Au cours des sprints et des courses avec arrivée groupée, il était parfois si difficile de distinguer chaque athlète que des systèmes annexes ont dû être employés en complément des cellules photoélectriques. Les cellules photoélectriques placées sur la ligne d’arrivée se sont révélées beaucoup plus performantes que tous les dispositifs employés jusqu’ici et ont fini par supplanter le traditionnel ruban.

Depuis les Jeux Olympiques d’hiver de Vancouver 2010, la caméra photo-finish OMEGA Scan’O’Vision sert à établir les chronos finaux des concurrents lors des courses. Lors des épreuves de patinage de vitesse, les chronos s’arrêtent simultanément sur les tableaux d’affichage et sur les incrustations graphiques des écrans de télévision à l’instant où l’un des patins de l’athlète franchit la ligne d’arrivée. Mais en dernier lieu, le résultat officiel reste le temps enregistré par la caméra photo-finish.

Une anecdote : la poursuite féminine à Vancouver
Au cours de la demi-finale face aux États-Unis, une patineuse allemande a chuté juste avant la ligne d’arrivée. Elle est tout de même parvenue à allonger sa jambe de sorte que l’extrémité de son patin a pu franchir la ligne, avec un chrono suffisant pour remporter la course

Cellules photoélectriques
Il y a deux cellules photoélectriques au bout de la piste, disposées à des hauteurs différentes de manière à assurer leur déclenchement par les patins ou les skis de l’athlète et non par d’autres parties du corps. Pour un résultat précis, les deux cellules photoélectriques doivent se déclencher afin d’établir et d’enregistrer le temps de course. Il existe des éléments clés pour établir les résultats lors d’une épreuve sur piste.

OMEGA utilisa la cellule photoélectrique pour la première fois lors des Jeux d’été de Londres 1948. La caméra photo-finish à fente, développée par la société britannique Race Finish Recording Company et désormais omniprésente, fit également ses débuts aux Jeux Olympiques.??Cette cellule photoélectrique était capable de déterminer précisément à quel moment les coureurs franchissaient la ligne d’arrivée. Cependant, lors d’une épreuve comme la course des 100 mètres, les athlètes étaient tellement serrés sur la ligne d’arrivée qu’il était impossible de déterminer l’ordre d’arrivée sans l’ombre d’un doute. La caméra photo-finish enregistrait une image qui pouvait être développée en huit minutes environ, écartant ainsi le moindre doute sur les prétendants au podium.??Plus de soixante ans après l’introduction de ces technologies révolutionnaires, les dispositifs qui leur ont succédé demeurent essentiels dans le domaine du chronométrage sportif. L’utilisation combinée de la cellule photoélectrique et des images photo-finish a changé à jamais la manière de chronométrer les épreuves sportives.

Transpondeurs
Dans les sports tels que le biathlon, le patinage de vitesse ou encore le snowboard cross, les transpondeurs très légers et discrets sont fixés aux deux jambes de chaque concurrent pour permettre à OMEGA de mesurer, enregistrer et afficher les temps et classements intermédiaires des athlètes et des équipes pendant le déroulement de la course.

Portillon de départ Snowgate
À Sotchi, les skieurs alpins s’élanceront depuis un portillon de départ répondant au nom de Snowgate. Grâce à cette technologie, le chrono se déclenche lorsque la baguette du portillon se trouve exactement au même angle pour chaque concurrent. Le boîtier de contrôle qui est relié au portillon dispose d’un système de reprise en cas de dysfonctionnement inopiné. Ce dispositif repose sur des principes à la fois purement mécaniques et électro-mécaniques. Les skieurs ont un créneau de dix secondes pour s’élancer, soit cinq secondes avant ou après le départ officiel. Tant qu’ils respectent cette règle, le système de chronométrage s’activera automatiquement au moment où ils s’élanceront. Sinon, c’est la disqualification.

FOCUS SUR LE CHRONOMETRAGE DU PATINAGE DE VITESSE

Douze épreuves de patinage de vitesse sont au programme. Ces dames évolueront sur 500 mètres, 1000 mètres, 1 500 mètres, 3 000 mètres et 5 000 mètres avec une épreuve de poursuite par équipe. Ces messieurs en découdront sur 500 mètres, 1000 mètres, 1 500 mètres, 5 000 mètres et 10 000 mètres, sans oublier l’épreuve de poursuite par équipes masculine. Le patinage de vitesse est une discipline olympique depuis la première édition des Jeux d’hiver en 1924 à Chamonix. Le patinage de vitesse féminin s’est ajouté au programme lors des Jeux d’hiver de Squaw Valley en 1960. Avec des pointes enregistrées à plus de 60 km/h, le patinage de vitesse est le sport le plus rapide au monde propulsé par la seule force humaine et sans aucun procédé mécanique.

Pendant la course, un compteur situé à proximité de la ligne d’arrivée renseigne les athlètes sur le nombre de tours restants. Le chrono s’arrête lorsque la lame du patin franchit le rayon photo positionné sur la surface de la patinoire au niveau de la ligne d’arrivée. En cas de litige, la caméra photo-finish OMEGA Scan’O’Vision enregistre l’arrivée à une cadence de 2 000 images par seconde.

Dans le patinage de vitesse, les chronométreurs et leurs technologies sont confrontés au défi ultime : la mesure des temps au millième de seconde. Pour mieux comprendre ce que cela représente, environ un millier de ces minuscules fractions de seconde s’écoulent lorsque l’on prononce « patinage de vitesse ».

FOCUS SUR LE CHRONOMETRAGE DU SKI ALPIN

Le ski alpin se compose de 10 épreuves : la descente, le super-G, le slalom, le slalom géant et le super-combiné, déclinés chez les hommes et les femmes. Ces événements se dérouleront au Centre alpin Rosa Khutor. Le ski alpin masculin et féminin est devenu une discipline olympique aux Jeux de Garmisch-Partenkirchen en 1936. En 1948, des épreuves séparées de descente et de slalom furent ajoutées. Le super-combiné fit son apparition en 1988 aux Jeux de Calgary. Le slalom géant fut ajouté en 1952 et le super-G en 1988.

Grâce à leur vitesse et leur suspense, ces épreuves figurent toujours parmi les événements les plus attendus des Jeux d’hiver. Les skieurs peuvent dépasser les 130 km/h sur des dénivelés allant de 180 mètres (slalom) à 1 100 mètres (descente) chez les hommes et de 140 mètres (slalom) à 800 mètres (descente) chez les femmes. Les concurrents doivent également franchir une série de portes. Un skieur qui manque une porte doit remonter la pente pour traverser celle-ci correctement sous peine de disqualification.

À Sotchi, les concurrents s’élanceront depuis un portillon de départ répondant au nom de Snowgate. Grâce à cette technologie, le chrono se déclenche lorsque la baguette du portillon se trouve exactement au même angle d’ouverture pour chaque skieur. Les concurrents ont un créneau de dix secondes pour s’élancer, soit cinq secondes avant ou après le départ officiel. Les photocellules laser enregistrent les temps intermédiaires et finaux.

FOCUS SUR LE CHRONOMETRAGE DU BOBSLEIGH

Le bobsleigh à quatre est entré au programme des JO en 1924. Si les grands principes de ce sport n’ont guère changé depuis, les bobsleighs actuels n’ont plus grand-chose à voir avec leurs ancêtres : il s’agit désormais de merveilles technologiques au profil aérodynamique, au nez de fibre de verre et aux patins d’acier poli.

Au départ d’un parcours de bobsleigh, les coureurs poussent le bob aussi fort que possible sur une cinquantaine de mètres avant de sauter à bord de l’habitacle où ils resteront (si tout se passe bien !) jusqu’à la fin de la course. Des photocellules laser placées tout au long de la piste enregistrent les temps intermédiaires. La paire de cellules située au niveau de la ligne d’arrivée confirme le chrono définitif. L’information est aussitôt transmise au système principal et au système auxiliaire dans la chambre de chronométrage.
Dans l’aire d’arrivée, il revient au freineur d’immobiliser le bob après le franchissement de la ligne.

FOCUS SUR LE CHRONOMETRAGE DU SKI DE FOND

La première compétition de ski de fond a eu lieu en 1843 à Tromsö, en Norvège. Mais ce sport existe depuis bien plus longtemps. En Scandinavie, les militaires étaient équipés de skis depuis des siècles. Dans les régions nordiques les plus sauvages, on dit même que les chasseurs utilisaient des skis pour se déplacer depuis plusieurs millénaires.

Lors des Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi 2014, les douze épreuves de ski de fond se dérouleront sur le site de Laura. Les athlètes peuvent user de deux techniques principales : la technique classique, qui consiste à faire coulisser les skis en parallèle sur des pistes damées, et la technique libre, qui voit les athlètes se propulser à la manière de patineurs de vitesse, en poussant sur l’arête de leurs skis.

Aux Jeux Olympiques, les femmes s’alignent sur six épreuves : sprint individuel, sprint par équipes, 10 km départ individuel, 15 km poursuite, 30 km départ groupé et relais 4 x 5 km. Les hommes concourent également sur six épreuves : sprint individuel, sprint par équipes, 15 km départ individuel, 30 km poursuite, 50 km départ groupé et relais 4 x 10 km. La technique utilisée (classique/libre) sur les épreuves de 10 et 15 km départ individuel, de sprint individuel, de sprint par équipes et de départ groupé alterne à chaque nouvelle édition des Jeux Olympiques.

Des photocellules laser sont employées à différents points intermédiaires tout au long du parcours et sur la ligne d’arrivée, où l’on note également la présence d’une caméra photo-finish Scan’O’Vision. Les chronométreurs utilisent en outre un système de suivi universel OMEGA basé sur la technologie (GPS) afin de localiser les athlètes tout au long du parcours. Cela leur permet de mesurer les distances entre les skieurs à tout moment et d’afficher leur position grâce à un programme d’animation 3D avec modélisation virtuelle du parcours obtenue par données satellites. Les positions des skieurs sont communiquées par le biais de transpondeurs fixés à leurs chaussures.

Neuf horloges OMEGA disséminées sur l’ensemble du territoire russe

Le 7 février 2013, un an jour pour jour avant la cérémonie d’inauguration des Jeux olympiques d’hiver, OMEGA a dévoilé de nouvelles horloges du compte à rebours dans huit villes de Russie. Celles-ci égrènent les jours, les heures, les minutes et les secondes qui nous séparent de la date tant attendue.

En mai 2011, OMEGA avait inauguré sa première horloge du compte à rebours dans la ville hôte. Outre Sotchi, huit autres horloges OMEGA ont été installées dans les villes de Moscou, Saint-Petersbourg, Ekaterinbourg, Nizhny Novgorod, Rostov-on-Don, Pyatigorsk, Novosibirsk et Khabarovsk.

L’horloge a été conçue pour refléter tout l’esprit de cette région diverse et dynamique qui se caractérise tant par son histoire et sa tradition que par sa vision contemporaine.

Avec leurs couleurs vives et leurs éléments transparents, les horloges OMEGA ne passent pas inaperçues dans leurs villes d’accueil, contribuant à exalter le mouvement olympique. Leur forme et leurs couleurs symbolisent le paysage contrasté de Sotchi, qui se distingue autant par ses montagnes majestueuses que par les côtes de la Mer Noire.

La cérémonie d’ouverture du pavillon OMEGA à Sotchi a provoqué hier beaucoup d’enthousiasme

Alors que les Jeux Olympiques d’hiver approchent, OMEGA a célébré hier l’ouverture de son activité au sein du parc olympique.

A quelques jours de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Sotchi 2014, OMEGA a célébré l’inauguration de son pavillon au sein du village olympique en présence de Nick Hayek, CEO du Swatch group, Stephen Urquhart, Président de OMEGA, Thomas Bach, Président CIO et le légendaire nageur et membre du CIO, Alexander Popov.

Les quatre personnalités ont pu découvrir l’ensemble du Pavillon, posant devant les photographes à côté de l’exposition Timekeeping, s’essayant dans une sublime course dans le simulateur de Bobsleigh ou encore propulsés dans le patinage de vitesse dans un film en 3D.

Mr Hayek était ravi d’accueillir journalistes et invités au Pavillon OMEGA et traduire l’implication de la marque aux Jeux Olympiques depuis ces nombreuses années : « Nous sommes tous içi pour les athlètes et bien sûr pour le sport. Ce n’est pas une question de politique, c’est une question d’émotion sportive », en ajoutant : « cela vaut bien tous les efforts de créer _les Jeux Olympiques_ et les partager avec des milliards de personnes dans le monde ».

Mr Bach remercia OMEGA et les relations que la marque OMEGA entretenait avec le CIO. Il ajouta : « Notre collaboration est de l’ordre du chronométrage et du partenariat. C’est avant tout basé sur le partage des valeurs olympiques et le souhait de soutenir nos athlètes dans une compétition qui soit la plus juste possible. » « Ce partenariat et le partage de ces valeurs sont ce que nous recherchons au CIO. »

Après leurs discours, Mr Hayek fit cadeau à Mr Bach de la fameuse “Cloche ” des J.O (une cloche en bronze signée Omega et utilisée dans nombre de disciplines olympiques pour signaler le dernier tour de piste, que ce soit dans les compétitions de cyclisme, d’athlétisme, de biathlon ou de patinage de vitesse) et Mr Bach, réciproquement, offrant la Torche Olympique de Sotchi 2014 en disant : « Maintenant, vous pouvez avoir la flamme olympique, pas uniquement dans votre cœur mais aussi dans vos mains ».

Le Pavillon OMEGA
Construit sur deux étages, le pavillon permettra de refléter l’image et les valeurs de la marque pendant toute la durée des Jeux paralympiques et Olympiques d’hiver. OMEGA accueillera ainsi de nombreux évènements au pavillon dont les démonstrations horlogères ainsi que des sessions de Questions-réponses en présence des Ambassadeurs de la marque.

Les spectateurs, athlètes et invités pourront visiter le Pavillon OMEGA, vivre une expérience interactive avec le simulateur de Bobsleigh, explorer l’art des mouvements horlogers, parcourir les pièces emblématiques de la collection OMEGA dans la boutique et découvrir les disciplines des jeux d’hiver dans l’univers de la marque.

Montres en édition limitée pour Sotchi 2014
OMEGA a créé des éditions spéciales de son modèle Seamaster Planet Ocean pour commémorer les Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi 2014. Les garde-temps OMEGA Seamaster Planet Ocean « Sochi 2014 » ont été déclinés en modèles masculins et féminins tirés chacun en 2 014 exemplaires.

OMEGA Seamaster Planet Ocean 45,5 mm « Sochi 2014 » Édition Limitée
La version masculine arbore un boîtier de 45,5 mm en acier inoxydable poli satiné avec bracelet assorti. Sa lunette tournante unidirectionnelle est équipée d’une bague en céramique noire mate avec échelle de plongée en nitrure de chrome. En référence au drapeau de la Fédération russe, cette montre bénéficie d’une finition bleue laquée entre 12 heures et 1 heure et rouge laquée entre 1 heure et 2 heures sur le pourtour du cadran.

Le fond vissé satiné, frappé du logo olympique « Sochi 2014 », est gravé de la mention « Si14 » et du numéro de série limitée (0001/2014). On distingue également la valve à hélium à 10 heures.

Les index appliqués sur le cadran noir mat et les aiguilles polies, facettées et rhodiées sont revêtues de Super-LumiNova blanc dégageant un halo bleuté. Seule exception, l’aiguille des minutes, qui émet une lueur verte, à l’instar du point situé à 12 heures sur la lunette de plongée. Cette spécificité permet aux plongeurs de connaître leur temps d’immersion d’un simple coup d’œil. Cette montre possède des aiguilles centrales des heures, des minutes et des secondes ainsi qu’un guichet de date à 3 heures.

La Seamaster Planet Ocean 45,5 mm « Sochi 2014 » Édition Limitée est animée par le calibre OMEGA Co-Axial 8500, véritable étalon-or de la montre mécanique du 21e siècle. Ce mouvement, doté du fameux spiral exclusif OMEGA en silicium Si14, affiche un tel degré de fiabilité que chaque modèle est assorti d’une garantie complète de quatre ans. La montre est étanche à 60 bar (600 mètres).

OMEGA Seamaster Planet Ocean 37,5 mm « Sochi 2014 » Édition Limitée
En 1932, OMEGA dévoilait la toute première montre de plongée au monde, baptisée la Marine. Les concepteurs de ce garde-temps mythique auraient certainement été fiers de savoir que 80 ans plus tard, la Marque OMEGA serait toujours la référence absolue en matière de montres de plongée. Mais ils auraient sans doute été étonnés d’apprendre que les femmes à la fibre aventurière compteraient désormais parmi les plus fervents adeptes de la Seamaster Planet Ocean.
L’OMEGA Seamaster Planet Ocean 37,5 mm « Sochi 2014 » Édition Limitée possède la même robustesse et les mêmes fonctionnalités de plongée professionnelles que son pendant masculin. Mais elle se distingue également par des caractéristiques uniques qui feront d’elles l’une des pièces de collection les plus recherchées des Jeux Olympiques de Sotchi 2014.

Le boîtier de 37,5 mm en acier inoxydable poli satiné est entouré d’une lunette tournante unidirectionnelle en céramique blanche avec échelle de plongée. À l’instar de la version masculine, le cadran bénéficie d’une finition bleue laquée entre 12 heures et 1 heure et d’une finition rouge laquée entre 1 heure et 2 heures.

Idéalement proportionné pour les poignets féminins, ce garde-temps possède un fond vissé satiné frappé du logo olympique « Sochi 2014 ». Le fond est également gravé de la mention « Si14 » ainsi que du numéro de série limitée (0001/2014). On distingue également la valve à hélium à 10 heures.

Les index appliqués sur le cadran blanc laqué sont revêtus de Super-LumiNova blanc dégageant un halo bleu, à l’instar des aiguilles polies, facettées et rhodiées. L’aiguille des minutes, en revanche, émet une lueur verte, à l’instar du point situé à 12 heures sur la lunette de plongée. Cette spécificité permet aux plongeurs de connaître leur temps d’immersion d’un simple coup d’œil. Cette montre possède des aiguilles centrales des heures, des minutes et des secondes ainsi qu’un guichet de date à 3 heures.

La Seamaster Planet Ocean 37,5 mm « Sochi 2014» Édition Limitée est animée par le calibre OMEGA Co-Axial 8520, qui appartient à la gamme exclusive des mouvements OMEGA Co-Axial. Amagnétique, son spiral en silicium Si14 résiste particulièrement bien aux chocs et aux perturbations extérieures. Grâce à sa fiabilité et à ses performances chronométriques exceptionnelles, cette montre bénéficie d’une garantie complète de quatre ans. Comme l’ensemble de la gamme Seamaster Planet Ocean, ce modèle est étanche à 60 bar (600 mètres).

OMEGA lance une montre classique et contemporaine en hommage aux Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi 2014
Avec la nouvelle Sochi Petrograd, OMEGA met à l’honneur un modèle de sa collection Museum.

Inspirée d’une montre spécialement créée en 1915 pour un dirigeant russe et puisant dans le style unique d’un modèle issu de la collection OMEGA Museum, l’OMEGA Sochi Petrograd rend hommage au pays hôte des Jeux Olympiques d’hiver 2014 tout en célébrant un design intemporel, qui n’a rien perdu de son originalité près d’un siècle plus tard.??Le design en forme de tonneau du boîtier, fabriqué en or jaune 18 carats poli, constitue l’un des aspects esthétiques les plus fascinants de ce garde-temps au style délicieusement rétro. Le boîtier est monté sur un magnifique bracelet en cuir bordeaux qui se ferme à l’aide d’une boucle en or jaune 18 carats. ??Le cadran blanc argenté, sur lequel on retrouve les couleurs rouge, blanche et bleue du drapeau russe, est ponctué d’un tour d’heures rouge de 24 heures doublé d’une minuterie polie, auxquels répondent les aiguilles centrales des heures et des minutes en acier bleui. Le compteur noir des secondes à 6 heures, qui fait écho au tour d’heures noir de 12 heures, est également parcouru d’une aiguille en acier bleui.??Autre particularité de ce garde-temps : son fond en or jaune 18 carats gravé du logo des Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi 2014 ainsi que du numéro d’édition limitée. Le modèle Sochi Petrograd a été tiré à seulement 100 exemplaires. ??Cette édition spéciale est animée par le calibre exclusif OMEGA 2202, doté d’un échappement Co-Axial et d’une finition de luxe. Présentée dans un coffret spécial, l’OMEGA Sochi Petrograd est assortie d’une garantie de trois ans et affiche une étanchéité à 3 bar (30 mètres).

  • Pavillon OMEGA au village Olympique de Sotchi
  • Inauguration du Pavilllon OMEGA
  • Inauguration du Pavilllon OMEGA à Sotchi
  • Inauguration du Pavilllon OMEGA à Sotchi
  • Inauguration du Pavilllon OMEGA à Sotchi
  • La montre OMEGA Sochi Petrograd