W1556221
Marque : | Cartier |
Collection : | Collection Haute Horlogerie |
Modèle : | Rotonde de Cartier Astrotourbillon Cristal de Carbone |
Référence : | W1556221 |
Nbre de pièces : | 50 |
Complément : | Niobium-Titane - Bracelet Alligator |
En vente depuis : | 2012 |
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Marque : | Cartier |
Collection : | Collection Haute Horlogerie |
Modèle : | Rotonde de Cartier Astrotourbillon Cristal de Carbone |
Référence : | W1556221 |
Nbre de pièces : | 50 |
Complément : | Niobium-Titane - Bracelet Alligator |
En vente depuis : | 2012 |
Prix du neuf : | 216 000 € |
Diamètre : | 47 mm |
Styles : | Haute Horlogerie Atypique |
Types : | Mécanique à remontage manuel |
Calibre : | 9460 MC |
Calibre distinction : | Échappement sans réglage ni lubrification Pont du tourbillon ancre et roue d’échappement en cristal de carbone Tourbillon avec axe au centre du mouvement |
Complication : | Tourbillon |
Matière du boîtier : | Niobium-Titane |
Particularité du boitier : | Antimagnétique Couronne perlée sertie d’un cabochon saphir |
Forme : | Ronde |
Etanchéité : | 30 mètres |
Couleur du cadran : | Noir |
Affichage : | Aiguilles luminescentes |
Index : | Chemin de fer Chiffres romains |
Verre : | Saphir |
Matière du bracelet : | Alligator |
Couleur du bracelet : | Noir |
Fermeture du bracelet : | Boucle déployante |
+ Plus de caractéristiques : | Mouvement mécanique à remontage manuel 9460 MC Échappement sans réglage ni lubrification Tourbillon avec axe au centre du mouvement Pont du tourbillon. ancre et roue d’échappement en cristal de carbone Pivots de l’échappement en carbure de tungstène Nombre de rubis : 17 Réserve de marche : 50 heures Diamètre : 40.1 mm Épaisseur : 9 mm Nombre de pièces : 195 Fréquence : 3Hz soit 21 600 alternances/heure Boucle déployante réglable en or gris 18 carats |
MONTRE ROTONDE DE CARTIER ASTROTOURBILLON CRISTAL DE CARBONE
De la suite dans les ID : Avec l’industrialisation de la montre concept ID One Cartier, l’innovation Cartier franchit un nouveau cap.
De la montre concept ID One Cartier à la montre Rotonde de Cartier Astrotourbillon cristal de carbone
Le mouvement d’une montre mécanique nécessite communément plusieurs réglages de la part d’un maître horloger. Ces réglages sont décisifs pour assurer la bonne marche de la montre.
En 2009, Cartier fait fi de ce principe en présentant l’ID One Cartier, la première montre concept ne nécessitant ni réglage ni lubrification. Loin d’être un coup d’éclat ponctuel de Cartier en matière d’innovation, cette étape préliminaire ouvre, bien au contraire, un vaste champ de possibles, en vue de futures industrialisations en série.
En 2012, Cartier présente une étonnante adaptation des fonctions de la montre concept ID One Cartier sur son célèbre mouvement Astrotourbillon, dévoilé deux ans plus tôt.
Totalement inédite, la Rotonde de Cartier Astrotourbillon cristal de carbone constitue la première d’industrialisation en série des technologies issues d’ID One Cartier avec un échappement à tourbillon qui ne nécessite ni réglage ni lubrification.
Profitant des dernières avancées technologiques, les ponts du tourbillon, l’ancre et la roue d’échappement, désormais en cristal de carbone, sont parfaitement ajustés dès leur assemblage et ne nécessitent aucune lubrification.
Grâce à la technologie de gravure DRIE (Deep Reactive Ion Etching) les composants en cristal de carbone sont précis au millième de millimètre, soit un micron, et disposent de surfaces extrêmement lisses. Grâce à ces propriétés, la roue d’échappement et l’ancre monobloc libèrent leurs impulsions avec une efficacité maximale, sans qu’aucune huile ne soit nécessaire.
Et c’est avec une précision extrême que les dents de la roue d’échappement dispensent six impulsions par seconde à l’ancre monobloc, des impulsions qui entretiennent le mouvement de l’oscillateur.
L’échappement d’un mouvement mécanique est soumis à de fortes contraintes. Un balancier d’une fréquence de trois hertz accomplit 21 600 alternances par heure, sans s’arrêter, 24 heures sur 24. Soit 518 400 impulsions en une journée et un total phénoménal de 189 216 000 en une année. En cinq ans, ce sont près d’un milliard d’impulsions qui auront été données, chacune sous-entendant un choc entre une dent de la roue d’échappement et une palette.
Grâce à la dureté intrinsèque du cristal de carbone, supérieure à 10 000 sur l’échelle Vickers, les rubis deviennent superflus. De petites ouvertures, très précisément positionnées, suffisent, des ouvertures qu’il est possible de découper dans la platine et les ponts dès l’usinage de ces pièces.
Le cristal de carbone dispose de propriétés intrinsèques exceptionnelles. En plus d’être transparent, insensible aux champs magnétiques et d’une extrême dureté, il est également très léger.
Dans la mesure où la roue d’échappement doit brièvement être arrêtée puis instantanément relancée six fois par seconde, chaque milligramme en moins peut engendrer une considérable économie d’énergie. Fabriquées en cristal de carbone, la roue d’échappement et l’ancre sont extrêmement légères. Il en va de même pour la cage du tourbillon dont la platine allongée et les trois ponts qui portent respectivement l’axe de balancier, l’axe de l’ancre et la tige de la roue d’échappement ne pèsent que 0,46 gramme avec son contrepoids en platine inclus !
Toute montre mécanique fonctionne grâce à la rotation des engrenages, au va et vient de l’ancre et à l’oscillation du balancier. Ces trois pièces reposent toutes sur un axe se terminant par des pivots qui viennent se loger dans des coussinets. Le mouvement des pivots crée une friction, qui provoque peu à peu une usure gênante. Un état de fait encore plus délicat au sein du mécanisme d’échappement, entre l’ancre et la roue d’échappement, où les vitesses de rotation sont considérablement plus élevées. Cherchant depuis toujours à minimiser cette friction, les horlogers ont jusqu’à maintenant opté pour des pivots en acier recuit et poli de manière optimale, insérés dans des rubis très durs, et régulièrement lubrifiés à l’aide d’une huile appropriée. Cette usure inévitables des pivots constitue le tendon d’Achille des montres mécaniques.
Dans une application sans précédent, Cartier a fabriqué les pivots à partir de carbure de tungstène ultra-dur, une variété de céramique, recouvert d’un film de diamant d’une extrême finesse. Les pivots peuvent ainsi se mouvoir dans les ponts en cristal de carbone avec un frottement minimal, le tout sans lubrification.
Le boîtier Rotonde de Cartier de 47 mm est en niobium-titane, un alliage léger et insensible aux champs magnétiques, ultra-résistant à la corrosion, aux rayures et aux chocs. Utilisé pour la montre concept ID One Cartier, ce nouveau matériau est également biocompatible et hypoallergénique.
Présentée en édition limitée et numérotée de 50 pièces, la Rotonde de Cartier Astrotourbillon cristal de carbone, dotée d’un échappement se passant de tout réglage et lubrification, ouvre une nouvelle page de l’histoire de l’horlogerie Cartier.
MONTRE ROTONDE DE CARTIER ASTROTOURBILLON CRISTAL DE CARBONE
De la suite dans les ID : Avec l’industrialisation de la montre concept ID One Cartier, l’innovation Cartier franchit un nouveau cap.
De la montre concept ID One Cartier à la montre Rotonde de Cartier Astrotourbillon cristal de carbone
Le mouvement d’une montre mécanique nécessite communément plusieurs réglages de la part d’un maître horloger. Ces réglages sont décisifs pour assurer la bonne marche de la montre.
En 2009, Cartier fait fi de ce principe en présentant l’ID One Cartier, la première montre concept ne nécessitant ni réglage ni lubrification. Loin d’être un coup d’éclat ponctuel de Cartier en matière d’innovation, cette étape préliminaire ouvre, bien au contraire, un vaste champ de possibles, en vue de futures industrialisations en série.
En 2012, Cartier présente une étonnante adaptation des fonctions de la montre concept ID One Cartier sur son célèbre mouvement Astrotourbillon, dévoilé deux ans plus tôt.
Totalement inédite, la Rotonde de Cartier Astrotourbillon cristal de carbone constitue la première d’industrialisation en série des technologies issues d’ID One Cartier avec un échappement à tourbillon qui ne nécessite ni réglage ni lubrification.
Profitant des dernières avancées technologiques, les ponts du tourbillon, l’ancre et la roue d’échappement, désormais en cristal de carbone, sont parfaitement ajustés dès leur assemblage et ne nécessitent aucune lubrification.
Grâce à la technologie de gravure DRIE (Deep Reactive Ion Etching) les composants en cristal de carbone sont précis au millième de millimètre, soit un micron, et disposent de surfaces extrêmement lisses. Grâce à ces propriétés, la roue d’échappement et l’ancre monobloc libèrent leurs impulsions avec une efficacité maximale, sans qu’aucune huile ne soit nécessaire.
Et c’est avec une précision extrême que les dents de la roue d’échappement dispensent six impulsions par seconde à l’ancre monobloc, des impulsions qui entretiennent le mouvement de l’oscillateur.
L’échappement d’un mouvement mécanique est soumis à de fortes contraintes. Un balancier d’une fréquence de trois hertz accomplit 21 600 alternances par heure, sans s’arrêter, 24 heures sur 24. Soit 518 400 impulsions en une journée et un total phénoménal de 189 216 000 en une année. En cinq ans, ce sont près d’un milliard d’impulsions qui auront été données, chacune sous-entendant un choc entre une dent de la roue d’échappement et une palette.
Grâce à la dureté intrinsèque du cristal de carbone, supérieure à 10 000 sur l’échelle Vickers, les rubis deviennent superflus. De petites ouvertures, très précisément positionnées, suffisent, des ouvertures qu’il est possible de découper dans la platine et les ponts dès l’usinage de ces pièces.
Le cristal de carbone dispose de propriétés intrinsèques exceptionnelles. En plus d’être transparent, insensible aux champs magnétiques et d’une extrême dureté, il est également très léger.
Dans la mesure où la roue d’échappement doit brièvement être arrêtée puis instantanément relancée six fois par seconde, chaque milligramme en moins peut engendrer une considérable économie d’énergie. Fabriquées en cristal de carbone, la roue d’échappement et l’ancre sont extrêmement légères. Il en va de même pour la cage du tourbillon dont la platine allongée et les trois ponts qui portent respectivement l’axe de balancier, l’axe de l’ancre et la tige de la roue d’échappement ne pèsent que 0,46 gramme avec son contrepoids en platine inclus !
Toute montre mécanique fonctionne grâce à la rotation des engrenages, au va et vient de l’ancre et à l’oscillation du balancier. Ces trois pièces reposent toutes sur un axe se terminant par des pivots qui viennent se loger dans des coussinets. Le mouvement des pivots crée une friction, qui provoque peu à peu une usure gênante. Un état de fait encore plus délicat au sein du mécanisme d’échappement, entre l’ancre et la roue d’échappement, où les vitesses de rotation sont considérablement plus élevées. Cherchant depuis toujours à minimiser cette friction, les horlogers ont jusqu’à maintenant opté pour des pivots en acier recuit et poli de manière optimale, insérés dans des rubis très durs, et régulièrement lubrifiés à l’aide d’une huile appropriée. Cette usure inévitables des pivots constitue le tendon d’Achille des montres mécaniques.
Dans une application sans précédent, Cartier a fabriqué les pivots à partir de carbure de tungstène ultra-dur, une variété de céramique, recouvert d’un film de diamant d’une extrême finesse. Les pivots peuvent ainsi se mouvoir dans les ponts en cristal de carbone avec un frottement minimal, le tout sans lubrification.
Le boîtier Rotonde de Cartier de 47 mm est en niobium-titane, un alliage léger et insensible aux champs magnétiques, ultra-résistant à la corrosion, aux rayures et aux chocs. Utilisé pour la montre concept ID One Cartier, ce nouveau matériau est également biocompatible et hypoallergénique.
Présentée en édition limitée et numérotée de 50 pièces, la Rotonde de Cartier Astrotourbillon cristal de carbone, dotée d’un échappement se passant de tout réglage et lubrification, ouvre une nouvelle page de l’histoire de l’horlogerie Cartier.
Marque : | Cartier |
Collection : | Collection Haute Horlogerie |
Modèle : | Rotonde de Cartier Astrotourbillon Cristal de Carbone |
Référence : | W1556221 |
Nbre de pièces : | 50 |
Complément : | Niobium-Titane - Bracelet Alligator |
En vente depuis : | 2012 |
Prix du neuf : | 216 000 € |
Diamètre : | 47 mm |
Styles : | Haute Horlogerie Atypique |
Types : | Mécanique à remontage manuel |
Calibre : | 9460 MC |
Calibre distinction : | Échappement sans réglage ni lubrification Pont du tourbillon ancre et roue d’échappement en cristal de carbone Tourbillon avec axe au centre du mouvement |
Complication : | Tourbillon |
Matière du boîtier : | Niobium-Titane |
Particularité du boitier : | Antimagnétique Couronne perlée sertie d’un cabochon saphir |
Forme : | Ronde |
Etanchéité : | 30 mètres |
Couleur du cadran : | Noir |
Affichage : | Aiguilles luminescentes |
Index : | Chemin de fer Chiffres romains |
Verre : | Saphir |
Matière du bracelet : | Alligator |
Couleur du bracelet : | Noir |
Fermeture du bracelet : | Boucle déployante |
Plus de caractéristiques : | Mouvement mécanique à remontage manuel 9460 MC Échappement sans réglage ni lubrification Tourbillon avec axe au centre du mouvement Pont du tourbillon. ancre et roue d’échappement en cristal de carbone Pivots de l’échappement en carbure de tungstène Nombre de rubis : 17 Réserve de marche : 50 heures Diamètre : 40.1 mm Épaisseur : 9 mm Nombre de pièces : 195 Fréquence : 3Hz soit 21 600 alternances/heure Boucle déployante réglable en or gris 18 carats |