Rotonde de Cartier Tourbillon Lové

SIHH 2015

CARTIER
OU L’ART DE LA PERFECTION 

LIBERTÉ D’EXPRESSION POUR UNE MONTRE DE STYLE  

MONTRE ROTONDE DE CARTIER TOURBILLON LOVÉ CALIBRE 9458 MC    

Faire table rase du passé pour donner toute liberté aux idées nouvelles et les développer… Pour Cartier, la Haute Horlogerie est un territoire d’exploration et chaque création une page blanche à part entière.  

Un mode d’expression dont la montre Rotonde de Cartier Tourbillon Lové manifeste l’originalité à travers le mystère et la parfaite maîtrise de l’espace de son cadran qui place au premier plan son tourbillon lové.  

En libérant l’espace du cadran, en limitant les fonctions aux heures, aux minutes et aux secondes, en concentrant le calibre sous des ponts minimalistes, les horlogers de Cartier ont permis de présenter le tourbillon volant en majesté et de réaliser, avec la montre Rotonde de Cartier Tourbillon Lové calibre 9458 MC, une œuvre solaire, graphique, forte de sa puissance esthétique.  

Un défi sur la forme tout autant que sur le fond qui permet à Cartier de condenser le mouvement dans l’exiguïté de cet espace que leur offrent les ponts.  

Coup d’éclat  

Lumineux, le cadran de la montre Rotonde de Cartier Tourbillon Lové perpétue la tradition du guillochage, dont le motif rayonnant est l’une des grandes signatures de la Maison.  

Depuis les premiers voyages en Russie de Pierre Cartier et la découverte du travail de Fabergé, le guillochage est entré dans les ateliers Cartier. Le métal est gravé de lignes et de points, créant un dessin géométrique. Il peut être ensuite émaillé, ou rester tel quel. Chez Cartier, l’inspiration s’enrichit d’une variété de motifs : rayons gravés à partir d’un point central pour les cadrans, les cadres et les pendulettes ; motifs de moiré ou d’écailles pour les nécessaires de bureau ou les stylos.  

Pour la montre Rotonde de Cartier Tourbillon Lové, Cartier allie le guilloché en rayons à l’éclat de l’or gris. Une association inspirée puisque l’or gris, non rhodié, se révèle une fabuleuse source de lumière. Le motif graphique n’en rayonne que davantage, créant une multitude de faisceaux. Selon l’orientation du cadran, les rayons captent et démultiplient les reflets, dans un large champ de miroitements colorés.  

Le regard saisit immédiatement la hiérarchie des niveaux de lecture car dans la boîte de cette montre Rotonde de Cartier, tout fait sens. Le rayonnement du guillochage, la disposition sophistiquée du tourbillon volant et des ponts, la demi-courbe du guichet des secondes, la présence signée des aiguilles en acier bleui qui surmontent l’ensemble.  

Totalement maîtrisé, l’espace épuré de ce cadran dépouillé de chiffres cumule les signes identitaires Cartier : boîtier de Rotonde de Cartier qui est aujourd’hui la forme emblématique des montres de Haute Horlogerie de la Maison, cabochon du remontoir en saphir, C de Cartier indiquant le chiffre de la seconde.  

Pour renforcer l’identité graphique du cadran et décupler la perspective du guillochage, l’ensemble est décentré, preuve que les horlogers ne sont pas prisonniers de la symétrie. Ainsi, niché au creux du guichet des secondes, le tourbillon volant, centre de toute cette composition, palpite comme un cœur.  

Une liberté sous haute surveillance  

Tour de force ou démonstration d’élégance, ce calibre Tourbillon Lové, développé avec soin par les ateliers de la Manufacture Cartier, arbore tous les symboles d’une horlogerie riche d’un patrimoine affirmé et renouvelé.  

Cartier choisit de révéler au regard ce qui, souvent, reste caché. Cette construction à la fois esthétique et très technique, a conduit les horlogers à porter une attention toute particulière à la finition de ses 167 composants. Comme pour tout mouvement de Haute Horlogerie chez Cartier, les composants constituant ce mouvement mécanique à remontage manuel, doté de 52 heures de réserve de marche, sont tous terminés à la main.  

Chacune des pièces du mouvement a reçu une finition spécifique : anglage des ponts, flancs étirés, têtes de vis polies et application du décor Côte de Genève, dont les stries parallèles font écho au guilloché du cadran. C’est cet ensemble de finitions, hautement réglementées, qui répond aux critères d’obtention du Poinçon de Genève, gage d’un travail soigné exécuté dans le respect de la tradition.