Ingenieur Automatique

IW323301

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Ingenieur Automatique

Marque  : IWC
Collection  : IWC Vintage Collection - Edition Jubilé
Modèle  : Ingenieur Automatique
Référence  : IW323301
Complément : Acier
Année : 2008
N'est plus commercialisé

5 650 €Prix neuf constaté FranceJE LA VEUX

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Ingenieur Automatique

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  • Marque  : IWC
    Collection  : IWC Vintage Collection - Edition Jubilé
    Modèle  : Ingenieur Automatique
    Référence  : IW323301
    Complément : Acier
    Année : 2008
    N'est plus commercialisé
    Prix du neuf : 5 650 €
    Diamètre : 42.5 mm
    Hauteur : 14.5 mm
    Styles : Classique
    Types : Mécanique à remontage automatique
    Calibre : 80111
    Complication : Stop-seconde
    Particularité du boitier : Couronne vissée
    Fond transparent
    Forme : Ronde
    Etanchéité : 150 mètres
    Couleur du cadran : Noir
    Affichage : Aiguilles luminescentes
    Index : Luminescents
    Points
    Bâtons
    Verre : Saphir
    Traitement anti-reflet
    Bord arqué
    Matière du bracelet : Alligator
    Couleur du bracelet : Noir
    + Plus de caractéristiques : Mouvement
    44 heures de réserve de marche
    28 800 alternances par heure
    Fréquence 4hz
    28 rubis

DESCRIPTION

  • Six légendes célèbrent 140 ans d’IWC Schaffhausen

    IWC Vintage Collection – Jubilee Edition1868–2008

    La manufacture de Schaffhouse célèbre son anniversaire avec six montres-bracelets légendaires quiont ponctué son histoire: Portugaise, Ingenieur, Montre d’Aviateur, Da Vinci, Aquatimer, Portofino. Ces mythes de l’horlogerie sont de nouveau disponibles sous forme de séduisants modèles dans le style Vintage; en guise de félicitations et, naturellement aussi, pour la grande joie de tous les amoureux et collectionneurs de la marque.


    Tout a commencé il y a un peu plus de140ans à Boston. A Boston, Florentine Ariosto Jones, un horloger dont le talent n’avait d’égal que le goût de l’entreprise, réfléchissait à une possibilité d’atteindre deux objectifs: d’une part, se mettre à son compte, mais aussi, d’autre part, faire bien des choses différemment et mieux que ses collègues de l’industrie horlogère américaine en plein essor. Etant alors directeur de la société F.HowardWatch&Cie, il avait naturellement déjà entendu parler de la petite Suisse et de ses excellents horlogers. Et il a été électrisé quand il a su que les salariés de l’industrie horlogère suisse travaillaient pour des salaires d’une modestie étonnante et fabriquaient leurs montres la plupart du temps avec de vieilles machines. La Suisse était alors, ce qui nous semblera peut-être stupéfiant aujourd’hui, un pays à bas salaires par excellence. Et c’est ainsi que naquit en F.A.Jones une idée commerciale lumineuse: pourquoi ne pas fabriquer en Suisse des montres de qualité pour le marché nord-américain, à des conditions beaucoup plus avantageuses et avec des machines neuves et bien meilleures? Aussitôt dit, aussitôt fait: à New York, Jones fonde avec deux associés un réseau de distribution appelé à habiller d’un boîtier les mouvements de montres de gousset fabriqués en Suisse et,de là,à les distribuer dans toute l’Amérique du Nord. L’entreprise reçoit un nom ronflant International Watch Company. Jones, accompagné de son ami l’horloger Louis Kidder, prend alors le bateau pour se rendre en Europe. Les deux compères emmènent dans leurs bagages non seulement une multitude d’idées, mais aussi des machines pour la fabrication en série de pièces et quelques plans de construction prêts à être utilisés pour les premières montres de fabrication suisse.

    Première surprise: en Suisse romande avec ses centres de l’horlogerie, où Jones envisage de s’établir, on traite avec condescendance cet amateur d’innovation. En effet, les hommes qui fabriquent en grande partie des pièces de montre à domicile craignent les machines modernes et le concept d’une fabrication en série même si celui-ci a l’avantage incontestable d’une qualité toujours identique.

    L’histoire aurait déjà pu s’arrêter là. Mais, en Suisse romande, Jones fait connaissance d’un industriel schaffhousois polyvalent, Heinrich Moser. Et celui-ci soumet à l’Américain une offre pas tout à fait altruiste, mais d’autant plus séduisante: à Schaffhouse, une petite ville du Nord de la Suisse dont l’Américain n’a sans doute encore jamais entendu parlerjusque-là,il peut se mettre au travail immédiatement – dans des bâtiments industriels appartenant à Moser. Cerise sur le gâteau: il disposera aussi de l’énergie nécessaire pour actionner les machines– à cette époque-là, il n’était pas encore question de courant électrique. Une usine hydraulique construite par Moser lui-même fournit l’énergie indispensable directement à la fabrique par le biais d’arbres et de longs câbles de transmission. C’est ainsi que Jones vient à Schaffhouse en1868 – et que Schaffhouse, loin de la Suisse romande, héberge soudain une fabrique de montres.

    Jones peut donc réellement transposer dans la pratique son idée hardie. De même, son principe consistant à fabriquer des montres de grandequalité à des tolérances toujours identiques fonctionne – et justifie la réputation des montres de Schaffhouse, une réputation qui se perpétue jusqu’à aujourd’hui dans le monde entier. Mais l’aventure qui a commencé de façon très prometteuse, sur le plan horloger, avec les premiers «calibres Jones», du nom du fondateur de la firme, prend une vraiment mauvaise tournure, sur le plan commercial, pour Jones lorsque l’Amérique – contrairement à sa promesse – ne diminue pas les droits de douane, d’un taux de 25 pour cent, édictés à cause de la guerre en 1864. L’avantage des plus faibles salaires suisses est donc réduit à néant. Jones rentre à Boston et la «fabrique de montres américaine» est reprise par des Suisses. Mais le fondateur laisse aux repreneurs cette ambition particulière de solutions techniques raffinées et toujours supérieures. C’est ainsi que, par la suite, malgré les difficultés de ses débuts, la manufacture se développe au point de devenir l’un des fabricants les plus renommés de montres de gousset solides et d’une grande longévité.

    Et elle est aussi, dès le début, l’un des protagonistes les plus actifs de la révolution horlogère qui favorisait, vers les années1900 déjà, la prééminence de la montre-bracelet. Mais la guerre de religion sur le port de la montre ne se termine réellement que dans les années Trente ou Quarante. Et c’est justement au moment où commence cette période de nouveaux bouleversements techniques que naissent quelques-unes des montres d’IWC les plus passionnantes et les plus convoitées des collectionneurs aujourd’hui encore. Certaines ont écrit des chapitres de l’histoire de l’horlogerie.

    Six montres – six légendes de la fondation des familles de montres IWC d’aujourd’hui Six de ces pierres milliaires ont été ramenées dans le présent en tant que nouveaux modèles Vintage illustrant la fière histoire de la firme pour le140ème anniversaire de la manufacture – même si ce chiffre n’est pas un chiffre tout à fait rond. Il ne s’agit pas de copies, il n’y en a jamais eu chez IWC, mais de réinterprétations de bonnes vieilles connaissances, parfois équipées de mouvements de manufacture automatiques ultramodernes et contemporains que l’on trouve aussi dans des modèles de série actuels.

    Quand la fidélité historique l’exige, ces modèles sont équipés de mouvements de montres de gousset à remontage mécanique qui reprennent le calibre IWC98,le plus célèbre et le plus longtemps construit, ceux-ci s’étant toutefois enrichis et ayant été complétés par quelques éléments des tout premiers mouvements de Jones. Et certains des modèles de l’actuelle collection Vintage – pour autant que leurs ancêtres n’étaient pas déjà présentés à cette époque au format maxi d’IWC – ont, lors de leur voyage dans le temps jusqu’au présent, aussi vu grandir la taille de leurs boîtiers, ce qui permet de les distinguer au premier coup d’œil des originaux. De cette manière, ils se transforment toutefois aussi en des personnalités de l’horlogerie absolument nouvelles. Ils indiquent par exemple à quoi aurait ressemblé une Ingenieur de1955 si son boîtier porté au poignet n’avait pas eu un diamètre de 37,5, mais de 42,5mm.

    Les six montres, qui sont respectivement proposées en édition illimitée en acier inoxydable avec cadran noir et en édition limitée en platine avec cadran argenté, sont toutefois plus qu’un simple «best of» de l’ère de la montre-bracelet chez IWC.Elles incarnent–chacune d’entre elles prise isolément – pratiquement la légende de la fondation des familles de montres de la manufacture qui existent aujourd’hui. Les 140 premières montres Vintage en platine sont malgré tout en quelque sorte déjà réservées: elles sont proposées en offre particulière,toutes avec le même numéro, en tant que série absolument unique, dans une valise en cuir réalisée avec une grande minutie.

    Ingenieur Automatic   

    L’Ingenieur Automatic de 1955: aucune montre n’a marqué la «technicité» d’IWC aussi fortement que l’Ingenieur présentée en 1955 avec le premier mouvement automatique IWC mis au point par Albert Pellaton. Avec son remontoir à cliquets et le rotor à paliers à ressorts, elle est, aujourd’hui encore, une référence de technique horlogère au plus haut niveau – de concert avec une robustesse optimale. C’est avec cette montre qui est un programme, et qui représente de façon exemplaire l’ingénierie horlogère de la manufacture de Schaffhouse, qu’IWC s’est engagée dans l’ère moderne. Elle a figuré sans interruption au programme, dans de nombreuses variantes, en tant qu’icône d’un sens de la qualité cultivé depuis 1868. Exécution légendaire, l’Ingenieur 500 000 A/m, avec ses pièces de mouvement amagnétiques, a battu en 1989 le record du monde de résistance d’une montre mécanique aux champs magnétiques les plus extrêmes.   L’icône de l’horlogerie d’IWC a été revue et corrigée de fond en comble un demi-siècle après sa première apparition. Ce qui, il y a plus de cinquante ans, a été un gage de robustesse et de fiabilité dans l’Ingenieur en tant que calibre 8531 – et plus tard 8541– trouve aujourd’hui son prolongement logique dans le calibre de manufacture 80110 ou 80111. L’Ingenieur Automatic est équipée de ce groupe qui entraîne également la «nouvelle» Ingenieur présentée en 2005 – dont le boîtier de 42,5mm de diamètre est l’un des cadrans Ingenieur au style le plus raffiné – avec les indices à point-tiret (le point constitue la masse lumineuse) et les aiguilles Dauphin. Ce modèle est aujourd’hui une rareté de collectionneurs d’une qualité inégalée. L’hommage moderne à ce monument de l’horlogerie renonce au boîtier en fer doux de l’original et expose en revanche le mouvement de manufacture aux regards. Avec le verre en saphir antireflets évidé au-dessus du cadran et la lunette vissée, la nouvelle Ingenieur Vintage est étanche jusqu’à 12 bars.  

  • Six légendes célèbrent 140 ans d’IWC Schaffhausen

    IWC Vintage Collection – Jubilee Edition1868–2008

    La manufacture de Schaffhouse célèbre son anniversaire avec six montres-bracelets légendaires quiont ponctué son histoire: Portugaise, Ingenieur, Montre d’Aviateur, Da Vinci, Aquatimer, Portofino. Ces mythes de l’horlogerie sont de nouveau disponibles sous forme de séduisants modèles dans le style Vintage; en guise de félicitations et, naturellement aussi, pour la grande joie de tous les amoureux et collectionneurs de la marque.


    Tout a commencé il y a un peu plus de140ans à Boston. A Boston, Florentine Ariosto Jones, un horloger dont le talent n’avait d’égal que le goût de l’entreprise, réfléchissait à une possibilité d’atteindre deux objectifs: d’une part, se mettre à son compte, mais aussi, d’autre part, faire bien des choses différemment et mieux que ses collègues de l’industrie horlogère américaine en plein essor. Etant alors directeur de la société F.HowardWatch&Cie, il avait naturellement déjà entendu parler de la petite Suisse et de ses excellents horlogers. Et il a été électrisé quand il a su que les salariés de l’industrie horlogère suisse travaillaient pour des salaires d’une modestie étonnante et fabriquaient leurs montres la plupart du temps avec de vieilles machines. La Suisse était alors, ce qui nous semblera peut-être stupéfiant aujourd’hui, un pays à bas salaires par excellence. Et c’est ainsi que naquit en F.A.Jones une idée commerciale lumineuse: pourquoi ne pas fabriquer en Suisse des montres de qualité pour le marché nord-américain, à des conditions beaucoup plus avantageuses et avec des machines neuves et bien meilleures? Aussitôt dit, aussitôt fait: à New York, Jones fonde avec deux associés un réseau de distribution appelé à habiller d’un boîtier les mouvements de montres de gousset fabriqués en Suisse et,de là,à les distribuer dans toute l’Amérique du Nord. L’entreprise reçoit un nom ronflant International Watch Company. Jones, accompagné de son ami l’horloger Louis Kidder, prend alors le bateau pour se rendre en Europe. Les deux compères emmènent dans leurs bagages non seulement une multitude d’idées, mais aussi des machines pour la fabrication en série de pièces et quelques plans de construction prêts à être utilisés pour les premières montres de fabrication suisse.

    Première surprise: en Suisse romande avec ses centres de l’horlogerie, où Jones envisage de s’établir, on traite avec condescendance cet amateur d’innovation. En effet, les hommes qui fabriquent en grande partie des pièces de montre à domicile craignent les machines modernes et le concept d’une fabrication en série même si celui-ci a l’avantage incontestable d’une qualité toujours identique.

    L’histoire aurait déjà pu s’arrêter là. Mais, en Suisse romande, Jones fait connaissance d’un industriel schaffhousois polyvalent, Heinrich Moser. Et celui-ci soumet à l’Américain une offre pas tout à fait altruiste, mais d’autant plus séduisante: à Schaffhouse, une petite ville du Nord de la Suisse dont l’Américain n’a sans doute encore jamais entendu parlerjusque-là,il peut se mettre au travail immédiatement – dans des bâtiments industriels appartenant à Moser. Cerise sur le gâteau: il disposera aussi de l’énergie nécessaire pour actionner les machines– à cette époque-là, il n’était pas encore question de courant électrique. Une usine hydraulique construite par Moser lui-même fournit l’énergie indispensable directement à la fabrique par le biais d’arbres et de longs câbles de transmission. C’est ainsi que Jones vient à Schaffhouse en1868 – et que Schaffhouse, loin de la Suisse romande, héberge soudain une fabrique de montres.

    Jones peut donc réellement transposer dans la pratique son idée hardie. De même, son principe consistant à fabriquer des montres de grandequalité à des tolérances toujours identiques fonctionne – et justifie la réputation des montres de Schaffhouse, une réputation qui se perpétue jusqu’à aujourd’hui dans le monde entier. Mais l’aventure qui a commencé de façon très prometteuse, sur le plan horloger, avec les premiers «calibres Jones», du nom du fondateur de la firme, prend une vraiment mauvaise tournure, sur le plan commercial, pour Jones lorsque l’Amérique – contrairement à sa promesse – ne diminue pas les droits de douane, d’un taux de 25 pour cent, édictés à cause de la guerre en 1864. L’avantage des plus faibles salaires suisses est donc réduit à néant. Jones rentre à Boston et la «fabrique de montres américaine» est reprise par des Suisses. Mais le fondateur laisse aux repreneurs cette ambition particulière de solutions techniques raffinées et toujours supérieures. C’est ainsi que, par la suite, malgré les difficultés de ses débuts, la manufacture se développe au point de devenir l’un des fabricants les plus renommés de montres de gousset solides et d’une grande longévité.

    Et elle est aussi, dès le début, l’un des protagonistes les plus actifs de la révolution horlogère qui favorisait, vers les années1900 déjà, la prééminence de la montre-bracelet. Mais la guerre de religion sur le port de la montre ne se termine réellement que dans les années Trente ou Quarante. Et c’est justement au moment où commence cette période de nouveaux bouleversements techniques que naissent quelques-unes des montres d’IWC les plus passionnantes et les plus convoitées des collectionneurs aujourd’hui encore. Certaines ont écrit des chapitres de l’histoire de l’horlogerie.

    Six montres – six légendes de la fondation des familles de montres IWC d’aujourd’hui Six de ces pierres milliaires ont été ramenées dans le présent en tant que nouveaux modèles Vintage illustrant la fière histoire de la firme pour le140ème anniversaire de la manufacture – même si ce chiffre n’est pas un chiffre tout à fait rond. Il ne s’agit pas de copies, il n’y en a jamais eu chez IWC, mais de réinterprétations de bonnes vieilles connaissances, parfois équipées de mouvements de manufacture automatiques ultramodernes et contemporains que l’on trouve aussi dans des modèles de série actuels.

    Quand la fidélité historique l’exige, ces modèles sont équipés de mouvements de montres de gousset à remontage mécanique qui reprennent le calibre IWC98,le plus célèbre et le plus longtemps construit, ceux-ci s’étant toutefois enrichis et ayant été complétés par quelques éléments des tout premiers mouvements de Jones. Et certains des modèles de l’actuelle collection Vintage – pour autant que leurs ancêtres n’étaient pas déjà présentés à cette époque au format maxi d’IWC – ont, lors de leur voyage dans le temps jusqu’au présent, aussi vu grandir la taille de leurs boîtiers, ce qui permet de les distinguer au premier coup d’œil des originaux. De cette manière, ils se transforment toutefois aussi en des personnalités de l’horlogerie absolument nouvelles. Ils indiquent par exemple à quoi aurait ressemblé une Ingenieur de1955 si son boîtier porté au poignet n’avait pas eu un diamètre de 37,5, mais de 42,5mm.

    Les six montres, qui sont respectivement proposées en édition illimitée en acier inoxydable avec cadran noir et en édition limitée en platine avec cadran argenté, sont toutefois plus qu’un simple «best of» de l’ère de la montre-bracelet chez IWC.Elles incarnent–chacune d’entre elles prise isolément – pratiquement la légende de la fondation des familles de montres de la manufacture qui existent aujourd’hui. Les 140 premières montres Vintage en platine sont malgré tout en quelque sorte déjà réservées: elles sont proposées en offre particulière,toutes avec le même numéro, en tant que série absolument unique, dans une valise en cuir réalisée avec une grande minutie.

    Ingenieur Automatic   

    L’Ingenieur Automatic de 1955: aucune montre n’a marqué la «technicité» d’IWC aussi fortement que l’Ingenieur présentée en 1955 avec le premier mouvement automatique IWC mis au point par Albert Pellaton. Avec son remontoir à cliquets et le rotor à paliers à ressorts, elle est, aujourd’hui encore, une référence de technique horlogère au plus haut niveau – de concert avec une robustesse optimale. C’est avec cette montre qui est un programme, et qui représente de façon exemplaire l’ingénierie horlogère de la manufacture de Schaffhouse, qu’IWC s’est engagée dans l’ère moderne. Elle a figuré sans interruption au programme, dans de nombreuses variantes, en tant qu’icône d’un sens de la qualité cultivé depuis 1868. Exécution légendaire, l’Ingenieur 500 000 A/m, avec ses pièces de mouvement amagnétiques, a battu en 1989 le record du monde de résistance d’une montre mécanique aux champs magnétiques les plus extrêmes.   L’icône de l’horlogerie d’IWC a été revue et corrigée de fond en comble un demi-siècle après sa première apparition. Ce qui, il y a plus de cinquante ans, a été un gage de robustesse et de fiabilité dans l’Ingenieur en tant que calibre 8531 – et plus tard 8541– trouve aujourd’hui son prolongement logique dans le calibre de manufacture 80110 ou 80111. L’Ingenieur Automatic est équipée de ce groupe qui entraîne également la «nouvelle» Ingenieur présentée en 2005 – dont le boîtier de 42,5mm de diamètre est l’un des cadrans Ingenieur au style le plus raffiné – avec les indices à point-tiret (le point constitue la masse lumineuse) et les aiguilles Dauphin. Ce modèle est aujourd’hui une rareté de collectionneurs d’une qualité inégalée. L’hommage moderne à ce monument de l’horlogerie renonce au boîtier en fer doux de l’original et expose en revanche le mouvement de manufacture aux regards. Avec le verre en saphir antireflets évidé au-dessus du cadran et la lunette vissée, la nouvelle Ingenieur Vintage est étanche jusqu’à 12 bars.  

  • Marque  : IWC
    Collection  : IWC Vintage Collection - Edition Jubilé
    Modèle  : Ingenieur Automatique
    Référence  : IW323301
    Complément : Acier
    Année : 2008
    N'est plus commercialisé
    Prix du neuf : 5 650 €
    Diamètre : 42.5 mm
    Hauteur : 14.5 mm
    Styles : Classique
    Types : Mécanique à remontage automatique
    Calibre : 80111
    Complication : Stop-seconde
    Particularité du boitier : Couronne vissée
    Fond transparent
    Forme : Ronde
    Etanchéité : 150 mètres
    Couleur du cadran : Noir
    Affichage : Aiguilles luminescentes
    Index : Luminescents
    Points
    Bâtons
    Verre : Saphir
    Traitement anti-reflet
    Bord arqué
    Matière du bracelet : Alligator
    Couleur du bracelet : Noir
    Plus de caractéristiques : Mouvement
    44 heures de réserve de marche
    28 800 alternances par heure
    Fréquence 4hz
    28 rubis