Millenary Quincy Jones

En hommage à cet artiste exceptionnel, Audemars Piguet réinvente les codes de sa ligne contemporaine Millenary. Le célèbre boîtier ovale, signe distinctif de cette collection, se pare d’acier noirci. Tantôt ses surfaces sont mattes, comme sur la carrure, tantôt elles sont brillantes et déploient leurs reflets, comme sur la lunette et le dessus des cornes. La construction de ce boîtier est des plus complexes, avec ses finitions qui conjuguent satiné vertical et horizontal. Sur son fond poli, la griffe de Quincy Jones ainsi que l’inscription « Millenary Quincy Jones – Limited Edition » rappellent que ne seront fabriqués que 500 exemplaires de ce prestigieux garde-temps. Il se porte sur un bracelet en cuir noir doté d’une boucle déployante AP – en acier noirci, par exemple ! 

Sur le cadran, les connaisseurs sauront identifier la zone d’heure décentrée comme l’une des caractéristiques de Millenary. Elle est détourée ici d’un léger filet. Sur fond de noir étincelant, elle laisse voir des chiffres romains en or gris qui vont croissant, tout comme la nuit se prolonge dans un club de jazz new-yorkais. Autour des heures, un autre cercle met en scène des touches de piano. A les regarder de plus près, on les verrait s’animer et scander un rythme endiablé. Le design du cadran fait mouche par sa sophistication. Le noir n’est peut-être pas une couleur, toujours est-il que ses nuances créent de saisissants contrastes et mènent la danse de la Millenary Quincy Jones.  

Le calibre 3120 assure le phrasé rythmique de la montre Millenary Quincy Jones. Ce mouvement à remontage automatique a été entièrement conçu, développé et réalisé par la Manufacture Audemars Piguet. Il traverse aujourd’hui l’ensemble des collections, des classiques Jules Audemars aux sportives Royal Oak, en passant par les contemporaines de Millenary. Objet de constantes évolutions, il se distingue par sa grande fiabilité. Son pont de balancier traversant assure une meilleure résistance aux chocs. Une seconde au centre à entraînement direct évite tout chevrotement de l’aiguille. Quant au réglage, il demeure stable grâce à un balancier à inertie variable doté de huit masselottes. Ce dernier assure également une importante constance dans le temps. Le calibre 3120 garantit en outre un agréable confort d’utilisation, notamment du fait que la date effectue un saut instantané, qu’elle peut être corrigée rapidement et que la réserve de marche atteint 60 heures. La mise à l’heure est aisée puisque, dès que le porteur tire la couronne, il active le levier stop seconde et provoque ainsi l’arrêt immédiat de l’aiguille des secondes. Mais le fleuron du calibre 3120, c’est le soin apporté à sa facture. Assemblé à la main dans les ateliers du Brassus, il vante une exceptionnelle qualité d’exécution et de finition. Les ponts sont minutieusement anglés et polis, de sorte à ne présenter que des arêtes nettes et éclatantes. Les moulures de pierres sont diamantées. Les roues arborent des bras anglés et des moulures diamantées. Même le tour et les fentes des vis sont anglés. En ce qui concerne la décoration – faite manuellement – la platine est perlée sur les deux faces et les ponts sont ornés de côtes de Genève. Enfin, la masse oscillante est un monobloc en or 22 carats agrémenté des armoiries des familles Audemars et Piguet et du sigle AP.  

D’abord trompettiste – il est de ceux qui entendent donner au jazz une plus grande liberté d’interprétation, plus de solos, plus d’improvisation et un tempo plus rapide – il devientbientôt arrangeur, puis directeur musical et producteur. Il travaille alors à des dizaines d’albums de jazzmen mais aussi et surtout d’artistes tels que Frank Sinatra, Barbara Streisand ou Tony Bennett. En 1965, le natif du ghetto de South Side Chicago intègre la cité hollywoodienne avec la bande originale de "Pawnbroker" de Sidney Lumet. C’est la première de nombreuses musiques de films. En parallèle, il continue à enregistrer des disques où se mêlent Rhythm and Blues, Funk et Pop music. En 1978, c’est la rencontre avec Michael Jackson dont Quincy produit « Off the Wall » (1979), « Thriller » (1983) et « Bad » (1987), couronnés du succès planétaire que l’on sait. Arrangeur aux doigts de fée, pépiniériste de talents et faiseur de tubes grâce à un flair qui ne le trahit jamais, Q s’illustre aussi par sa générosité. On lui doit notamment l'enregistrement du tube humanitaire "We are the World", pour lequel il réussit la gageure de réunir quarante-six stars américaines. Par le biais de sa fondation, The Quincy Jones Foundation, il s’engage aussi en faveur des enfants, de leur bien-être, leur santé et leur dignité. 

Audemars Piguet s’associe à cet homme hors du commun pour développer le Project Q. Ce projet vise à interpeller les politiques ainsi que tout un chacun aux besoins d’expression des jeunes, aux moyens à mettre en œuvre pour qu’ils atteignent pleinement leur potentiel. Le Q Prize est la pièce maîtresse du Project Q. Ce prix international est présenté par Audemars Piguet et récompense une personnalité publique ou un organisme social ayant joué un rôle central dans la cause des enfants. La nouvelle Millenary Quincy Jones générera quant à elle des fonds destinés à soutenir la fondation.