W0YG11
Marque : | Louis Vuitton |
Collection : | Monterey |
Modèle : | Louis Vuitton Monterey |
Référence : | W0YG11 |
Complément : | Or Jaune - Cadran Blanc - Bracelet Cuir de Veau |
En vente depuis : | 2025 |
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Marque : | Louis Vuitton |
Collection : | Monterey |
Modèle : | Louis Vuitton Monterey |
Référence : | W0YG11 |
Complément : | Or Jaune - Cadran Blanc - Bracelet Cuir de Veau |
En vente depuis : | 2025 |
Prix du neuf : | 56 000 € |
Diamètre : | 39 mm |
Epaisseur : | 12.2 mm |
Styles : | Haute Horlogerie |
Types : | Mécanique à remontage automatique |
Calibre : | LFT MA01.02 |
Calibre distinction : | Masse oscillante : or rose18 karats |
Complication : | Heures Minutes Secondes |
Matière du boîtier : | Or jaune |
Particularité du boitier : | Cristal saphir; revêtement antireflets Dos du boîtier fermé gravé « 1 of 188 » |
Forme : | Ronde |
Etanchéité : | 50 mètres |
Cadran : | Email Grand Feu |
Couleur du cadran : | Blanc |
Affichage : | Aiguille des heures et minutes en or blanc 18 karats avec revêtement laqué rouge Aiguille des secondes en acier bleui |
Matière du bracelet : | Cuir de veau |
Couleur du bracelet : | Noir |
Fermeture du bracelet : | Boucle ardillon |
+ Plus de caractéristiques : | Mouvement Mechanical self-winding movement, calibre LFT MA01.02 Diameter: 23 mm Thickness: 5.4 mm Oscillating weight: 18K pink gold Power reserve: 45 hours Number of jewels: 26 Frequency: 28,800 vibrations/hour - 4Hz Boitier Or jaune 18 karats Cadran Cadran en Émail Grand Feu sur une plaque en or blanc 18 karats Bracelet / Boucles Bracelet en cuir de veau teint noir Boucle ardillon en or jaune |
Louis Vuitton Monterey
La Louis Vuitton Monterey célèbre les origines, et la vision horlogère et audacieuse de la Maison, en réinterprétant une montre iconique devenue culte.
La Maison dévoile la Louis Vuitton Monterey, une montre en édition limitée qui réinterprète sa toute première montre-bracelet – apparue sur la scène horlogère à la fin des années 1980. Aujourd’hui devenues des pièces de collection iconiques et très prisées des collectionneurs, les créations originales LV I et LV II reconnaissables à leur silhouette en galet emblématique, furent dessinées par l’architecte visionnaire Gae Aulenti et incarnaient l’esprit du voyage cher à la Maison. La Fabrique du Temps Louis Vuitton a sublimé les codes emblématiques de cette icône grâce à son savoir-faire d’excellence. La Louis Vuitton Monterey, en or jaune, présente un somptueux cadran en émail Grand Feu blanc - préservant la signature graphique originelle - et substitue un mouvement automatique de manufacture au calibre à quartz des modèles historiques. La montre est limitée à 188 exemplaires.
Selon Matthieu Hegi, Directeur Artistique de La Fabrique du Temps Louis Vuitton : « Réinterpréter une création signifie respecter son design et son esprit. Nous conservons les mêmes codes graphiques, en cherchant à les moderniser et à les sublimer. »
Un hommage à l’originalité
Tout a commencé en 1988, lorsque Louis Vuitton lance ses toutes premières montres-bracelets : les LV I et LV II.
Collaborant toujours avec les créateurs les plus visionnaires, la Maison se rapproche de Gae Aulenti, designer et architecte italienne, qui vient d’achever la transformation révolutionnaire d’une gare parisienne en Musée d’Orsay. Créatrice d’objets novateurs dans les années 1960, Gae Aulenti imagine pour Louis Vuitton deux montres résolument avant-gardistes, les LV I et LV II.
Célébrant l’esprit du voyage de la Maison avec un chemin de fer, un affichage de la date, une fonction GMT ainsi qu’une heure universelle, le modèle LV I de 1988 en 40 mm dévoile une forme de galet sans corne avant-gardiste et se décline en or blanc ou jaune. Une couronne positionnée de façon singulière à 12 heures, fait écho aux montres de poche. Plus petit, le modèle LV II en 37 mm, confectionné à partir d’une céramique noire ou verte innovante et résistante aux rayures, affiche la date et l’heure avec une fonction alarme.
Les connaisseurs s’émerveillent devant leurs designs audacieux. Une fascination également nourrie par l’affectueux surnom qui est donné à la montre : Monterey, qu’elle doit à la prononciation du mot « montre » à l’américaine, les modèles LV I et LV II étant à l’origine désignés comme Montre 1 et Montre 2.
Près de quatre décennies plus tard, les créations de 1988 entrent dans une nouvelle ère. Les Monterey d’époque sont aperçues aux poignets des personnalités les plus influentes, mais aussi lors du défilé prêt-à-porter femme automne-hiver 2025 de Louis Vuitton à Paris, où Nicolas Ghesquière, Directeur Artistique des collections femme, les associe à ses silhouettes.
Une audacieuse réinterprétation
Inspirée par l’avant-gardisme et le caractère innovant de la toute première montre de la Maison, la Louis Vuitton Monterey est une réinterprétation à la fois épuré et audacieuse d’une icône. Les codes et caractéristiques fondateurs du design ont été magnifiés par le savoir-faire et l’expertise de La Fabrique du Temps Louis Vuitton.
Avec son boîtier de 39mm en or jaune et en forme de galet, assorti d’un cadran blanc brillant en émail Grand Feu, la montre est animée par un mouvement automatique manufacture qui remplace le calibre à quartz d’origine. Résolument minimaliste, l’ADN graphique du modèle d’archives est préservé à travers les accents rouges et bleus des chemins de fer. En hommage aux créations de 1988, la Louis Vuitton Monterey est limitée à 188 exemplaires.
L’art de l’émail
Célébrant un art horloger ancestral, l’émaillage Grand Feu s’est imposé comme un choix évident pour le nouveau cadran, offrant une profondeur et un éclat exceptionnel.
Outre sa brillance, cette technique confère également une chaleur et un ton uniques qui se marient particulièrement bien avec le caractère graphique du cadran minimaliste.
L’émail Grand Feu est également apprécié pour la stabilité optimale et la grande résistance à la décoloration de ses couleurs. Autant de qualités qui permettent au cadran de traverser les générations, tout en reflétant le temps et le savoir-faire minutieux requis pour sa confection.
La création d'un cadran en émail Grand Feu est un processus orchestré et minutieux en plusieurs étapes qui nécessite environ 20 heures de travail pour appliquer plusieurs couches d'émail vitreux sur le métal. Ce processus est entrecoupé de cuissons délicates à des températures élevées comprises entre 800 et 900 °C, chaque cuisson présentant un risque de bris et de recommencement à zéro.
La couleur blanche est également l’une des nuances les plus délicates à réaliser. La première étape consiste à préparer la couleur, en inspectant la poudre d’émail au microscope à la recherche de la moindre impureté, afin d’obtenir une texture fine et homogène. À l’aide d’un pinceau fin, l’émail est ensuite appliqué à la main sur un cadran en or blanc, préalablement traité à la fibre de verre.
Pour obtenir la couleur et la nuance désirées, les couches doivent être superposées méticuleusement. Après l’application d’une base fine, quatre couches supplémentaires sont nécessaires pour obtenir la teinte, la profondeur et l’opacité désirées. Un procédé rigoureusement minuté pour éviter de surchauffer ou de sous-chauffer l’émail, et garantir une parfaite homogénéité de la couleur.
Le cadran est ensuite poli avec du papier de verre pour créer une surface totalement lisse, permettant la vitrification de l’émail. Il est cuit progressivement à 720 °C, à 10 reprises jusqu’à obtenir une couche solide et translucide, ainsi qu’une finition d’une brillance inouïe, presque opaline. Il en émane une richesse et une profondeur incroyables, uniquement réalisables grâce à l’émaillage artisanal.
La tampographie peut alors commencer en mélangeant l’essence de poudre d’émail – bleue, rouge ou noire – pour former une pâte lisse, idéale pour le marquage de l’émail avec précision. Cette étape, qui permet d’élaborer la signature du cadran, dure deux heures. La machine doit être réglée minutieusement pour chaque couleur, à mesure que le motif, la nuance, la profondeur et le volume prennent forme. Au total, huit marquages sont nécessaires pour chacune des trois couleurs : quatre cuissons à 460 °C, suivies de quatre autres à 600 °C. Les teintes du cadran sont reprises dans les aiguilles en or blanc de la montre, à l’image du modèle original. Graphiques et contemporaines, les aiguilles en forme de seringue sont parées de laque rouge, et accompagnées d’une trotteuse en acier bleui. Les deux signatures « FAB. EN SUISSE» et « LOUIS VUITTON PARIS » viennent souligner l’ensemble.
Un boîtier emblématique
Chaque élément du boîtier de la Louis Vuitton Monterey est imprégné d’héritage. Entièrement réalisée et polie à la main à La Fabrique des Boîtiers Louis Vuitton, sa forme reste fidèle à l’originale. Parfaitement arrondi et réfléchissant, ce boîtier en or jaune de 39mm est rehaussé d’une couronne inspirée des montres de poche à 12 heures. Cette couronne, agrandie et finement crantée d’un motif Clous de Paris, est façonnée par un usinage manuel de haute précision, révélant une sensation tactile et une beauté émotionnelle uniques.
Dans la même démarche avant-gardiste que Gae Aulenti, la construction ingénieuse du fond de boîtier et l’absence de corne ont également été revisitées. À l’instar du modèle de 1988, la montre est dotée d’un système pour détacher rapidement le bracelet, tandis qu’une gravure discrète indique « 1 of 188 », subtilement dissimulée sous le bracelet en cuir — un secret réservé au porteur.
Un nouveau cœur mécanique
Les proportions du boîtier sont parfaitement adaptées au mouvement automatique LFTMA01.02 de la nouvelle montre, logé sous un fond fermé. La Fabrique du Temps Louis Vuitton travaille toujours chaque détail du calibre, même s’ils ne sont pas visibles. Un savoir-faire pointilleux et un réel souci du détail qui transparaissent à l’extérieur comme à l’intérieur, à travers une platine perlée circulaire, des ponts sablés et des bords microbillés. On y retrouve également les codes emblématiques de la Maison : une masse oscillante en or rose 18 carats ajouré de motifs en V évoquant le Monogram Louis Vuitton, tandis que, sous le balancier, le poinçon LFT incarne la promesse d’un savoir-faire d’exception. Quant aux saphirs incolores, ils confèrent une esthétique moderne au calibre, qui annonce 28 800 alternances par heure et une réserve de marche de 45 heures, idéale pour tous les modes de vie.
« Cette montre est une symbiose entre passé et présent, fidèle au design et à l’esprit du modèle original tout en le réinterprétant dans l’air du temps », explique Matthieu Hegi. « Nous avons conservé la forme «galet» poli, l’attache unique du bracelet en cuir et la couronne iconique à 12 heures, autant de références à la Monterey de 1988. L’email blanc, rehaussé de ses décalques également en émail, rend hommage à un savoir-faire immuable tout en offrant une brillance, une nuance et une chaleur qui perdureront au fil du temps. »
En posant un regard contemporain sur le passé, la Maison a créé un garde-temps à la fois intemporel et avant-gardiste, témoin d’un artisanat impérissable et d’un savoir-faire historique, repensé pour les collectionneurs d’aujourd’hui.
Louis Vuitton Monterey
La Louis Vuitton Monterey célèbre les origines, et la vision horlogère et audacieuse de la Maison, en réinterprétant une montre iconique devenue culte.
La Maison dévoile la Louis Vuitton Monterey, une montre en édition limitée qui réinterprète sa toute première montre-bracelet – apparue sur la scène horlogère à la fin des années 1980. Aujourd’hui devenues des pièces de collection iconiques et très prisées des collectionneurs, les créations originales LV I et LV II reconnaissables à leur silhouette en galet emblématique, furent dessinées par l’architecte visionnaire Gae Aulenti et incarnaient l’esprit du voyage cher à la Maison. La Fabrique du Temps Louis Vuitton a sublimé les codes emblématiques de cette icône grâce à son savoir-faire d’excellence. La Louis Vuitton Monterey, en or jaune, présente un somptueux cadran en émail Grand Feu blanc - préservant la signature graphique originelle - et substitue un mouvement automatique de manufacture au calibre à quartz des modèles historiques. La montre est limitée à 188 exemplaires.
Selon Matthieu Hegi, Directeur Artistique de La Fabrique du Temps Louis Vuitton : « Réinterpréter une création signifie respecter son design et son esprit. Nous conservons les mêmes codes graphiques, en cherchant à les moderniser et à les sublimer. »
Un hommage à l’originalité
Tout a commencé en 1988, lorsque Louis Vuitton lance ses toutes premières montres-bracelets : les LV I et LV II.
Collaborant toujours avec les créateurs les plus visionnaires, la Maison se rapproche de Gae Aulenti, designer et architecte italienne, qui vient d’achever la transformation révolutionnaire d’une gare parisienne en Musée d’Orsay. Créatrice d’objets novateurs dans les années 1960, Gae Aulenti imagine pour Louis Vuitton deux montres résolument avant-gardistes, les LV I et LV II.
Célébrant l’esprit du voyage de la Maison avec un chemin de fer, un affichage de la date, une fonction GMT ainsi qu’une heure universelle, le modèle LV I de 1988 en 40 mm dévoile une forme de galet sans corne avant-gardiste et se décline en or blanc ou jaune. Une couronne positionnée de façon singulière à 12 heures, fait écho aux montres de poche. Plus petit, le modèle LV II en 37 mm, confectionné à partir d’une céramique noire ou verte innovante et résistante aux rayures, affiche la date et l’heure avec une fonction alarme.
Les connaisseurs s’émerveillent devant leurs designs audacieux. Une fascination également nourrie par l’affectueux surnom qui est donné à la montre : Monterey, qu’elle doit à la prononciation du mot « montre » à l’américaine, les modèles LV I et LV II étant à l’origine désignés comme Montre 1 et Montre 2.
Près de quatre décennies plus tard, les créations de 1988 entrent dans une nouvelle ère. Les Monterey d’époque sont aperçues aux poignets des personnalités les plus influentes, mais aussi lors du défilé prêt-à-porter femme automne-hiver 2025 de Louis Vuitton à Paris, où Nicolas Ghesquière, Directeur Artistique des collections femme, les associe à ses silhouettes.
Une audacieuse réinterprétation
Inspirée par l’avant-gardisme et le caractère innovant de la toute première montre de la Maison, la Louis Vuitton Monterey est une réinterprétation à la fois épuré et audacieuse d’une icône. Les codes et caractéristiques fondateurs du design ont été magnifiés par le savoir-faire et l’expertise de La Fabrique du Temps Louis Vuitton.
Avec son boîtier de 39mm en or jaune et en forme de galet, assorti d’un cadran blanc brillant en émail Grand Feu, la montre est animée par un mouvement automatique manufacture qui remplace le calibre à quartz d’origine. Résolument minimaliste, l’ADN graphique du modèle d’archives est préservé à travers les accents rouges et bleus des chemins de fer. En hommage aux créations de 1988, la Louis Vuitton Monterey est limitée à 188 exemplaires.
L’art de l’émail
Célébrant un art horloger ancestral, l’émaillage Grand Feu s’est imposé comme un choix évident pour le nouveau cadran, offrant une profondeur et un éclat exceptionnel.
Outre sa brillance, cette technique confère également une chaleur et un ton uniques qui se marient particulièrement bien avec le caractère graphique du cadran minimaliste.
L’émail Grand Feu est également apprécié pour la stabilité optimale et la grande résistance à la décoloration de ses couleurs. Autant de qualités qui permettent au cadran de traverser les générations, tout en reflétant le temps et le savoir-faire minutieux requis pour sa confection.
La création d'un cadran en émail Grand Feu est un processus orchestré et minutieux en plusieurs étapes qui nécessite environ 20 heures de travail pour appliquer plusieurs couches d'émail vitreux sur le métal. Ce processus est entrecoupé de cuissons délicates à des températures élevées comprises entre 800 et 900 °C, chaque cuisson présentant un risque de bris et de recommencement à zéro.
La couleur blanche est également l’une des nuances les plus délicates à réaliser. La première étape consiste à préparer la couleur, en inspectant la poudre d’émail au microscope à la recherche de la moindre impureté, afin d’obtenir une texture fine et homogène. À l’aide d’un pinceau fin, l’émail est ensuite appliqué à la main sur un cadran en or blanc, préalablement traité à la fibre de verre.
Pour obtenir la couleur et la nuance désirées, les couches doivent être superposées méticuleusement. Après l’application d’une base fine, quatre couches supplémentaires sont nécessaires pour obtenir la teinte, la profondeur et l’opacité désirées. Un procédé rigoureusement minuté pour éviter de surchauffer ou de sous-chauffer l’émail, et garantir une parfaite homogénéité de la couleur.
Le cadran est ensuite poli avec du papier de verre pour créer une surface totalement lisse, permettant la vitrification de l’émail. Il est cuit progressivement à 720 °C, à 10 reprises jusqu’à obtenir une couche solide et translucide, ainsi qu’une finition d’une brillance inouïe, presque opaline. Il en émane une richesse et une profondeur incroyables, uniquement réalisables grâce à l’émaillage artisanal.
La tampographie peut alors commencer en mélangeant l’essence de poudre d’émail – bleue, rouge ou noire – pour former une pâte lisse, idéale pour le marquage de l’émail avec précision. Cette étape, qui permet d’élaborer la signature du cadran, dure deux heures. La machine doit être réglée minutieusement pour chaque couleur, à mesure que le motif, la nuance, la profondeur et le volume prennent forme. Au total, huit marquages sont nécessaires pour chacune des trois couleurs : quatre cuissons à 460 °C, suivies de quatre autres à 600 °C. Les teintes du cadran sont reprises dans les aiguilles en or blanc de la montre, à l’image du modèle original. Graphiques et contemporaines, les aiguilles en forme de seringue sont parées de laque rouge, et accompagnées d’une trotteuse en acier bleui. Les deux signatures « FAB. EN SUISSE» et « LOUIS VUITTON PARIS » viennent souligner l’ensemble.
Un boîtier emblématique
Chaque élément du boîtier de la Louis Vuitton Monterey est imprégné d’héritage. Entièrement réalisée et polie à la main à La Fabrique des Boîtiers Louis Vuitton, sa forme reste fidèle à l’originale. Parfaitement arrondi et réfléchissant, ce boîtier en or jaune de 39mm est rehaussé d’une couronne inspirée des montres de poche à 12 heures. Cette couronne, agrandie et finement crantée d’un motif Clous de Paris, est façonnée par un usinage manuel de haute précision, révélant une sensation tactile et une beauté émotionnelle uniques.
Dans la même démarche avant-gardiste que Gae Aulenti, la construction ingénieuse du fond de boîtier et l’absence de corne ont également été revisitées. À l’instar du modèle de 1988, la montre est dotée d’un système pour détacher rapidement le bracelet, tandis qu’une gravure discrète indique « 1 of 188 », subtilement dissimulée sous le bracelet en cuir — un secret réservé au porteur.
Un nouveau cœur mécanique
Les proportions du boîtier sont parfaitement adaptées au mouvement automatique LFTMA01.02 de la nouvelle montre, logé sous un fond fermé. La Fabrique du Temps Louis Vuitton travaille toujours chaque détail du calibre, même s’ils ne sont pas visibles. Un savoir-faire pointilleux et un réel souci du détail qui transparaissent à l’extérieur comme à l’intérieur, à travers une platine perlée circulaire, des ponts sablés et des bords microbillés. On y retrouve également les codes emblématiques de la Maison : une masse oscillante en or rose 18 carats ajouré de motifs en V évoquant le Monogram Louis Vuitton, tandis que, sous le balancier, le poinçon LFT incarne la promesse d’un savoir-faire d’exception. Quant aux saphirs incolores, ils confèrent une esthétique moderne au calibre, qui annonce 28 800 alternances par heure et une réserve de marche de 45 heures, idéale pour tous les modes de vie.
« Cette montre est une symbiose entre passé et présent, fidèle au design et à l’esprit du modèle original tout en le réinterprétant dans l’air du temps », explique Matthieu Hegi. « Nous avons conservé la forme «galet» poli, l’attache unique du bracelet en cuir et la couronne iconique à 12 heures, autant de références à la Monterey de 1988. L’email blanc, rehaussé de ses décalques également en émail, rend hommage à un savoir-faire immuable tout en offrant une brillance, une nuance et une chaleur qui perdureront au fil du temps. »
En posant un regard contemporain sur le passé, la Maison a créé un garde-temps à la fois intemporel et avant-gardiste, témoin d’un artisanat impérissable et d’un savoir-faire historique, repensé pour les collectionneurs d’aujourd’hui.
Marque : | Louis Vuitton |
Collection : | Monterey |
Modèle : | Louis Vuitton Monterey |
Référence : | W0YG11 |
Complément : | Or Jaune - Cadran Blanc - Bracelet Cuir de Veau |
En vente depuis : | 2025 |
Prix du neuf : | 56 000 € |
Diamètre : | 39 mm |
Epaisseur : | 12.2 mm |
Styles : | Haute Horlogerie |
Types : | Mécanique à remontage automatique |
Calibre : | LFT MA01.02 |
Calibre distinction : | Masse oscillante : or rose18 karats |
Complication : | Heures Minutes Secondes |
Matière du boîtier : | Or jaune |
Particularité du boitier : | Cristal saphir; revêtement antireflets Dos du boîtier fermé gravé « 1 of 188 » |
Forme : | Ronde |
Etanchéité : | 50 mètres |
Cadran : | Email Grand Feu |
Couleur du cadran : | Blanc |
Affichage : | Aiguille des heures et minutes en or blanc 18 karats avec revêtement laqué rouge Aiguille des secondes en acier bleui |
Matière du bracelet : | Cuir de veau |
Couleur du bracelet : | Noir |
Fermeture du bracelet : | Boucle ardillon |
Plus de caractéristiques : | Mouvement Mechanical self-winding movement, calibre LFT MA01.02 Diameter: 23 mm Thickness: 5.4 mm Oscillating weight: 18K pink gold Power reserve: 45 hours Number of jewels: 26 Frequency: 28,800 vibrations/hour - 4Hz Boitier Or jaune 18 karats Cadran Cadran en Émail Grand Feu sur une plaque en or blanc 18 karats Bracelet / Boucles Bracelet en cuir de veau teint noir Boucle ardillon en or jaune |