Montre d'Aviateur Chronographe Edition TOP GUN

Une nouveauté dans l’escadrille

Montre d’Aviateur Chrono-Automatic Edition TOP GUN

Le double chronographe de l’édition de montres d’aviateur TOP GUNa déjà décollé. Il est aujourd’hui suivi par un chronographe à la personnalité affirmée: noir, masculin – et construit pour affronter les conditions les plus extrêmes. Un chronographe qui porte le nom de l’école de pilotage la plus renommée au monde: l’école TOP GUNde la US Navy Fighter Weapons School.

Pour être l’un des meilleurs, pas de place au compromis. Ni pour soi ni pour son équipement. Les pilotes de chasse de la US Navy Fighter Weapons School sont les meilleurs parmi leurs pairs. Et les montres d’aviateur IWC qui arborent le logo TOP GUN sont réputées comme étant des garde-temps d’une extrême robustesse à l’épreuve du mur du son, tout comme elles symbolisent un professionnalisme et une fiabilité, poussés à l’extrême. Après le double chronographe qui a été le premier de cette classe aéronautique exceptionnelle à décoller, en 2007, l’Edition TOP GUN reçoit du renfort. Avec la Montre d’Aviateur Chronographe Automatique, ce sont ainsi deux modèles IWC, qui intègrent les fonctions incomparables de cette ligne.

Quel sont donc les points communs de ces modèles TOP GUN ? Ils sont noirs, puissants, très masculins et possèdent un boîtier en céramique high-tech indestructible et pourtant d’une grande légèreté ainsi qu’un verre saphir bombé avec enduction antireflet qui résiste même à une chute brutale de la pression et sont étanches jusqu’à 6 bars. Les éléments de commande et le fond sont fabriqués dans un titane gris mat.

Chacun des modèles arborent le logo TOP GUN sur le fond de la montre et sur le flanc gauche du boîtier. Leurs mouvements mécaniques de précision sont protégés contre les champs magnétiques. Les cadrans sont d’une clarté extrême et reprennent les codes chers à l’aviation: un design de cockpit authentique, avec des aiguilles et des indications blanches sur fond noir, luminescentes. Deux petits éléments rouge signal permettent un contrôle rapide du fonctionnement: la petite aiguille des secondes est le contrepoids de l’aiguille centrale au centre, qui est la reproduction d’un minuscule avion de chasse: signe distinctif de l’Edition TOP GUN. Et, comme chaque gramme compte en vol, mais aussi pour le confort de celui qui porte un tel bolide, elle se glisse au poignet avec un bracelet nylon souple ultraléger.

Quelles sont leurs différences?Avec ce nouveau modèle, le chronographe sans rattrapante s’est imposé comme un outil indispensable pour l’élite des aviateurs. Le chronographe avec mesure du temps additionnel jusqu’à 12 heures se distingue extérieurement du double chronographe par son boîtier en céramique plus mince de deux millimètres (44mm) et par l’absence de troisième poussoir à «10 heures» pour la fonction de rattrapante. A part cela, cadran et type d’indications sont identiques. Il possède également une indication du jour de la semaine et un affichage de la date dans le style d’un altimètre de cockpit. On retrouve aussi, la combinaison céramique et titane. Deux matériaux modernes imcomparables pour leur robustesse et qu’IWC a été la première manufacture à introduire dans la construction de ses montres dès les années quatre-vingt.

Une montre d’aviateur de la collection TOP GUN implique naturellement une protection optimale du mouvement de la montre contre les champs magnétiques grâce à une cage en fer doux à l’intérieur du boîtier. Une spécificité qui distingue les montres d’aviateur d’IWC depuis la Mark 11 de 1948, la légendaire montre de pilote qui a, entre autres, fourni de bons et loyaux services comme montre de navigation dans le cockpit pour la Royal Air Force. Cela englobe bien évidemment la protection au sens large, avec l’introduction chez IWC il y a des dizaines d’années, du verre saphir à double traitement antireflet contre les chutes de pression brutales dans le cockpit. Et c’est à cette robustesse poussée au summum qu’est aussi dédié le boîtier en poudre d’oxyde de zirconium et liant «cuit» jusqu’à des températures de 2000 degrés et travaillé avec des outils en diamant. Il est antimagnétique, résistant aux acides et aux chocs, léger et particulièrement agréable au contact avec la peau, comme le titane. Exactement ce qui convient pour une utilisation extrême.

L’école des meilleurs

Une aura d’invincibilité entoure les pilotes d’avion de chasse de la US Navy, qui accomplissent aujourd’hui avec succès la formation TOP GUN à Fallon/Nevada. Mais il n’en a pas toujours été ainsi: la United States Navy Fighter Weapons School, qui a tout d’abord été basée à Miramar/Californie à partir de 1969, est le résultat d’une analyse critique du déficit d’aptitude au combat aérien des pilotes de chasse. La Navy a réagi et a créé TOP GUN. Le cours, que n’accomplissent que des pilotes d’avion de chasse particulièrement qualifiés, s’appelle officiellement, aujourd’hui, US Navy Strike Fighter Tactics Instructor (SFTI).

Mais le terme générique TOP GUN continue de prévaloir. Ce cours consiste en des combats aériens dans des conditions réelles. Au début, les élèves se sont livrés, avec les nouveaux modèles F-14 Tomcat et F/A-18 Hornet, à de téméraires chasses d’interception contre leurs instructeurs aux commandes d’une version turbo de l’A-4 Skyhawk et du F-5 Tiger. Au fil des ans, le profil de formation a été adapté aux besoins actuels et s’est étendu aux missions air-sol.

Le concept TOP GUN remporte un tel succès que la US Air Force elle-même envoie ses meilleurs pilotes à ces cours bien qu’elle propose sa propre formation de pilotes d’élite à Nellis/Nevada. La qualification de «pilote de chasse» ne s’obtient qu’au fil de la formation. Elle s’applique aux pilotes militaires les plus courageux et aux réflexes les plus rapides, ceux qui se révèlent être d’authentiques combattants individuels et des pilotes plutôt audacieux. Il en a toujours été ainsi depuis que l’armée de l’air existe.