Pierre Arpels

Marque  : Van Cleef & Arpels
Collection  : Pierre Arpels
Modèle  : Pierre Arpels
Référence  :
Complément : Or Blanc - 42 mm
En vente depuis : 2012

16 800 €Prix neuf constaté FranceJE LA VEUX

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Pierre Arpels

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  • Marque  : Van Cleef & Arpels
    Collection  : Pierre Arpels
    Modèle  : Pierre Arpels
    Référence  :
    Complément : Or Blanc - 42 mm
    En vente depuis : 2012
    Prix du neuf : 16 800 €
    Diamètre : 42 mm
    Epaisseur : 5.79 mm
    Styles : Classique
    Soirée
    Vintage
    Types : Mécanique à remontage manuel
    Calibre : Piaget 830P
    Calibre distinction : Extra-plat
    Matière du boîtier : Or blanc
    Particularité du boitier : Extra-plat
    Couronne sertie d'un diamant
    Forme : Ronde
    Cadran : Laqué
    Décoré
    Couleur du cadran : Blanc
    Affichage : Aiguilles Bâton
    Index : Chiffres romains
    Bâtons
    Matière du bracelet : Alligator
    Verni
    Couleur du bracelet : Noir
    + Plus de caractéristiques : Cadran
    Motif qui rappelle la forme du poinçon de Van Cleef & Arpels et l’étoffe piquée des chemises de smoking

    Bracelet
    Cuirs collés à la main

DESCRIPTION

  • Pierre Arpels (1919-1980)
    Un homme à l’origine du mythe

    « Le style c’est l’homme... »
    Buffon 1707-1788 


    C’est une question de style, une forme d’élégance réduite à l’essentiel : le beau qui ne se voit pas, mais se devine. Pour comprendre, il suffit d’observer Pierre Arpels dans la première scène du film français Fantômas, réalisé en 1964. Van Cleef & Arpels a accepté de prêter sa boutique de la place Vendôme pour ce tournage qui débute chez un grand joaillier. Pierre Arpels y interprète son propre personnage.

    « Une Rolls Royce s’arrête devant le numéro 22 de la place Vendôme. Un couple en descend : Lord et Lady Beltham. Derrière le visage aristocratique de l’homme se dissimule le célèbre escroc Fantômas, joué par Jean Marais. Sa compagne est incarnée par Marie-Hélène Arnaud, l’un des plus célèbres mannequins des années 1960 ».

    « Pierre Arpels, parfaitement élégant, les accueille comme il se doit. Il baise la main de Lady Beltham avec toute la retenue d’un homme du monde. Puis, discrètement, il s’éclipse afin de laisser ses clients choisir un fabuleux assortiment de parures ».


    Le geste est sobre, même s’il est raffiné. Il s’accorde avec l’élégance de l’homme. Chaque matin, Pierre Arpels choisit son costume, sa cravate, ses souliers avec un soin extrême. Pour ce séducteur, la recherche de l’harmonie est une seconde nature. Ses vêtements, son cadre de vie, son bureau place Vendôme sont marqués par ce goût pour une sophistication discrète. 

    C’est dans cet esprit que la montre dont il rêvait depuis toujours fut créée en 1949. Pierre Arpels a alors 30 ans et, après les années difficiles de la Seconde Guerre Mondiale, il n’est plus un jeune homme insouciant. Comme beaucoup de ses contemporains, il a appris l’importance de l’essentiel et « sa » montre en est le symbole. Le tape-à-l’oeil des années 1930, celles de sa jeunesse, la richesse qui se voit, les lignes confuses, tout cela est révolu.

    Un cercle parfait 

    La montre qu’il imagine est un cercle parfait, la plus ancienne et la plus fréquemment utilisée des figures géométriques. Celle qui n’a ni début, ni fin... Dans la philosophie Feng Shui, le cercle est un refuge pour l’esprit, un lieu d’épanouissement et d’apaisement spirituel.

    La disparition des deux attaches latérales qui maintiennent généralement les montres classiques sur leur bracelet permet à ce cercle d’être quasiment suspendu dans l’espace. Son unique fixation est un lien très étroit, que Pierre Arpels fera encore diminuer, afin qu’il devienne insoupçonnable.

    Disposé en haut et en bas de la montre, il est semblable à l’axe invisible du globe terrestre, qui relie les deux pôles en traversant le centre de la terre.

    Une ligne épurée

    Pierre Arpels est un homme sensible aux arts, européens ou asiatiques, mais il apprécie par dessus tout le dépouillement. Sur la terrasse de son appartement parisien, situé au dernier étage d’un immeuble moderne, il a recréé un jardin de style japonais, tout en courbes harmonieuses, savamment maîtrisées. Il recherche en permanence l’équilibre des lignes et des formes. Et, s’il n’avait été joaillier il aurait aimé être architecte. Dans chacune de ses résidences, à Paris ou à la campagne, il dispose d’un atelier, un lieu très intime, où il se retire pour dessiner, imaginer et rêver.

    Pour lui, le beau est ce qui reste une fois que l’on a ôté tout ce qui était superflu. Et c’est ainsi que se présente le cadran de sa montre. Il est blanc, un peu mat. Les deux aiguilles sont marquées par de simples bâtons noirs. Les heures, gravées en chiffres romains, sont disposées sur le cadran dans une géométrie rigoureuse tout autour du cercle.   

    Un boîtier plat

    Symbole d’harmonie et d’élégance, la montre de Pierre Arpels est un objet très personnel, créé uniquement à son intention. Il ne souhaite pas l’arborer comme un trophée. Pour cet homme bien élevé, le temps est une notion qui ne doit pas avoir de prise sur la vie quotidienne. Il n’est pas question qu’une cliente ou un ami puisse le surprendre en train d’observer l’heure pendant un rendez-vous.

    C’est aussi pour cette raison qu’il a voulu sa montre extrêmement plate. Elle doit se deviner sous le poignet de sa chemise, glisser le plus discrètement possible, sans jamais accrocher l’étoffe, de manière à ce que personne ne la remarque.

    Une montre pour le jour et pour le soir

    Homme d’affaires, créateur, grand voyageur et sportif... Pierre Arpels est tout cela à la fois. L’été, il s’installe à bord de son bateau qui fait la navette entre Monaco et Cannes, deux villes de la Côte d’Azur où la Maison a des boutiques très fréquentées durant cette période de vacances. Du début du Festival du Cinéma au soir du bal de la Croix Rouge monégasque, ces mois d’été sont une période d’activité intense pour lui.

    Sa montre est la compagne idéale de cette vie très active. Il la porte lorsqu’il est à la barre de son bateau. Dans la journée, lorsqu’il se rend dans une des boutiques, elle est toujours là, à son poignet. Le soir, lorsqu’il baise la main de Romy Schneider, lors de la montée des marches du Palais des Festivals, ou celle de la Princesse Grace au Sporting de Monaco, sa montre est toujours présente, sous le poignet droit de sa chemise de smoking.

    L’occasion et la tenue changent, seule la montre reste. Son cadran blanc, sa couronne en or jaune, son attache arrondie à peine visible, son bracelet en alligator noir contribuent à créer cette impression de beau parfait, cher à Pierre Arpels. Elle est le seul objet qui l’accompagne du matin au soir.

    Pierre Arpels acceptera que « sa » montre soit reproduite pour des membres de sa famille et quelques amis proches. Finalement, elle sera commercialisée en 1971 sous le nom de PA 49. Jamais ses lignes fondamentales ne seront modifiées. Elle fait partie du patrimoine horloger de la Maison Van Cleef & Arpels.

    2012

    La montre Pierre Arpels

    Plus de 60 ans après sa création, cette montre est devenue une icône de l’horlogerie. A l’occasion du SIHH 2012, Van Cleef & Arpels en présente une nouvelle incarnation, plus contemporaine, mais dont les lignes rappellent l’originale et l’esprit de son créateur.

    Sur la surface ronde du cadran, les heures, marquées en chiffres romains comme il se doit, se détachent avec la même simplicité nette qu’autrefois.

    Le cadran est toujours laqué de blanc, mais sa partie centrale est ornée d’un motif qui rappelle tout à la fois la forme du poinçon de Van Cleef & Arpels et l’étoffe piquée des chemises de smoking.

    Un nouveau profil, légèrement biseauté, renforce la discrétion de la montre qui glisse encore plus facilement sous le poignet de la chemise.

    L’attache arrondie, très fine, disposée en haut et en bas du cadran, est toujours présente. Sa simplicité accentue l’élégance du porté de cette montre qui semble à peine fixée sur le poignet.

    Le bracelet est en alligator vernis noir, exactement comme Pierre Arpels l’avait souhaité. L’innovation réside dans l’assemblage des cuirs : ils sont collés à la main afin de faire disparaitre les coutures.

  • Pierre Arpels (1919-1980)
    Un homme à l’origine du mythe

    « Le style c’est l’homme... »
    Buffon 1707-1788 


    C’est une question de style, une forme d’élégance réduite à l’essentiel : le beau qui ne se voit pas, mais se devine. Pour comprendre, il suffit d’observer Pierre Arpels dans la première scène du film français Fantômas, réalisé en 1964. Van Cleef & Arpels a accepté de prêter sa boutique de la place Vendôme pour ce tournage qui débute chez un grand joaillier. Pierre Arpels y interprète son propre personnage.

    « Une Rolls Royce s’arrête devant le numéro 22 de la place Vendôme. Un couple en descend : Lord et Lady Beltham. Derrière le visage aristocratique de l’homme se dissimule le célèbre escroc Fantômas, joué par Jean Marais. Sa compagne est incarnée par Marie-Hélène Arnaud, l’un des plus célèbres mannequins des années 1960 ».

    « Pierre Arpels, parfaitement élégant, les accueille comme il se doit. Il baise la main de Lady Beltham avec toute la retenue d’un homme du monde. Puis, discrètement, il s’éclipse afin de laisser ses clients choisir un fabuleux assortiment de parures ».


    Le geste est sobre, même s’il est raffiné. Il s’accorde avec l’élégance de l’homme. Chaque matin, Pierre Arpels choisit son costume, sa cravate, ses souliers avec un soin extrême. Pour ce séducteur, la recherche de l’harmonie est une seconde nature. Ses vêtements, son cadre de vie, son bureau place Vendôme sont marqués par ce goût pour une sophistication discrète. 

    C’est dans cet esprit que la montre dont il rêvait depuis toujours fut créée en 1949. Pierre Arpels a alors 30 ans et, après les années difficiles de la Seconde Guerre Mondiale, il n’est plus un jeune homme insouciant. Comme beaucoup de ses contemporains, il a appris l’importance de l’essentiel et « sa » montre en est le symbole. Le tape-à-l’oeil des années 1930, celles de sa jeunesse, la richesse qui se voit, les lignes confuses, tout cela est révolu.

    Un cercle parfait 

    La montre qu’il imagine est un cercle parfait, la plus ancienne et la plus fréquemment utilisée des figures géométriques. Celle qui n’a ni début, ni fin... Dans la philosophie Feng Shui, le cercle est un refuge pour l’esprit, un lieu d’épanouissement et d’apaisement spirituel.

    La disparition des deux attaches latérales qui maintiennent généralement les montres classiques sur leur bracelet permet à ce cercle d’être quasiment suspendu dans l’espace. Son unique fixation est un lien très étroit, que Pierre Arpels fera encore diminuer, afin qu’il devienne insoupçonnable.

    Disposé en haut et en bas de la montre, il est semblable à l’axe invisible du globe terrestre, qui relie les deux pôles en traversant le centre de la terre.

    Une ligne épurée

    Pierre Arpels est un homme sensible aux arts, européens ou asiatiques, mais il apprécie par dessus tout le dépouillement. Sur la terrasse de son appartement parisien, situé au dernier étage d’un immeuble moderne, il a recréé un jardin de style japonais, tout en courbes harmonieuses, savamment maîtrisées. Il recherche en permanence l’équilibre des lignes et des formes. Et, s’il n’avait été joaillier il aurait aimé être architecte. Dans chacune de ses résidences, à Paris ou à la campagne, il dispose d’un atelier, un lieu très intime, où il se retire pour dessiner, imaginer et rêver.

    Pour lui, le beau est ce qui reste une fois que l’on a ôté tout ce qui était superflu. Et c’est ainsi que se présente le cadran de sa montre. Il est blanc, un peu mat. Les deux aiguilles sont marquées par de simples bâtons noirs. Les heures, gravées en chiffres romains, sont disposées sur le cadran dans une géométrie rigoureuse tout autour du cercle.   

    Un boîtier plat

    Symbole d’harmonie et d’élégance, la montre de Pierre Arpels est un objet très personnel, créé uniquement à son intention. Il ne souhaite pas l’arborer comme un trophée. Pour cet homme bien élevé, le temps est une notion qui ne doit pas avoir de prise sur la vie quotidienne. Il n’est pas question qu’une cliente ou un ami puisse le surprendre en train d’observer l’heure pendant un rendez-vous.

    C’est aussi pour cette raison qu’il a voulu sa montre extrêmement plate. Elle doit se deviner sous le poignet de sa chemise, glisser le plus discrètement possible, sans jamais accrocher l’étoffe, de manière à ce que personne ne la remarque.

    Une montre pour le jour et pour le soir

    Homme d’affaires, créateur, grand voyageur et sportif... Pierre Arpels est tout cela à la fois. L’été, il s’installe à bord de son bateau qui fait la navette entre Monaco et Cannes, deux villes de la Côte d’Azur où la Maison a des boutiques très fréquentées durant cette période de vacances. Du début du Festival du Cinéma au soir du bal de la Croix Rouge monégasque, ces mois d’été sont une période d’activité intense pour lui.

    Sa montre est la compagne idéale de cette vie très active. Il la porte lorsqu’il est à la barre de son bateau. Dans la journée, lorsqu’il se rend dans une des boutiques, elle est toujours là, à son poignet. Le soir, lorsqu’il baise la main de Romy Schneider, lors de la montée des marches du Palais des Festivals, ou celle de la Princesse Grace au Sporting de Monaco, sa montre est toujours présente, sous le poignet droit de sa chemise de smoking.

    L’occasion et la tenue changent, seule la montre reste. Son cadran blanc, sa couronne en or jaune, son attache arrondie à peine visible, son bracelet en alligator noir contribuent à créer cette impression de beau parfait, cher à Pierre Arpels. Elle est le seul objet qui l’accompagne du matin au soir.

    Pierre Arpels acceptera que « sa » montre soit reproduite pour des membres de sa famille et quelques amis proches. Finalement, elle sera commercialisée en 1971 sous le nom de PA 49. Jamais ses lignes fondamentales ne seront modifiées. Elle fait partie du patrimoine horloger de la Maison Van Cleef & Arpels.

    2012

    La montre Pierre Arpels

    Plus de 60 ans après sa création, cette montre est devenue une icône de l’horlogerie. A l’occasion du SIHH 2012, Van Cleef & Arpels en présente une nouvelle incarnation, plus contemporaine, mais dont les lignes rappellent l’originale et l’esprit de son créateur.

    Sur la surface ronde du cadran, les heures, marquées en chiffres romains comme il se doit, se détachent avec la même simplicité nette qu’autrefois.

    Le cadran est toujours laqué de blanc, mais sa partie centrale est ornée d’un motif qui rappelle tout à la fois la forme du poinçon de Van Cleef & Arpels et l’étoffe piquée des chemises de smoking.

    Un nouveau profil, légèrement biseauté, renforce la discrétion de la montre qui glisse encore plus facilement sous le poignet de la chemise.

    L’attache arrondie, très fine, disposée en haut et en bas du cadran, est toujours présente. Sa simplicité accentue l’élégance du porté de cette montre qui semble à peine fixée sur le poignet.

    Le bracelet est en alligator vernis noir, exactement comme Pierre Arpels l’avait souhaité. L’innovation réside dans l’assemblage des cuirs : ils sont collés à la main afin de faire disparaitre les coutures.

  • Marque  : Van Cleef & Arpels
    Collection  : Pierre Arpels
    Modèle  : Pierre Arpels
    Référence  :
    Complément : Or Blanc - 42 mm
    En vente depuis : 2012
    Prix du neuf : 16 800 €
    Diamètre : 42 mm
    Epaisseur : 5.79 mm
    Styles : Classique
    Soirée
    Vintage
    Types : Mécanique à remontage manuel
    Calibre : Piaget 830P
    Calibre distinction : Extra-plat
    Matière du boîtier : Or blanc
    Particularité du boitier : Extra-plat
    Couronne sertie d'un diamant
    Forme : Ronde
    Cadran : Laqué
    Décoré
    Couleur du cadran : Blanc
    Affichage : Aiguilles Bâton
    Index : Chiffres romains
    Bâtons
    Matière du bracelet : Alligator
    Verni
    Couleur du bracelet : Noir
    Plus de caractéristiques : Cadran
    Motif qui rappelle la forme du poinçon de Van Cleef & Arpels et l’étoffe piquée des chemises de smoking

    Bracelet
    Cuirs collés à la main