IW502213
Marque : | IWC |
Collection : | Portugaise |
Modèle : | Portugaise Calendrier Perpétuel |
Référence : | IW502213 |
Complément : | Or Rose |
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Ce modèle est remplacé courant 2010 par la référence IW502302 en or rouge.
Marque : | IWC |
Collection : | Portugaise |
Modèle : | Portugaise Calendrier Perpétuel |
Référence : | IW502213 |
Complément : | Or Rose |
Prix du neuf : | 26 300 € |
Diamètre : | 44.20 mm |
Epaisseur : | 15.50 mm |
Styles : | Classique Haute Horlogerie |
Types : | Mécanique à remontage automatique |
Calibre : | 51613 |
Complication : | Phases de Lune Calendrier Perpétuel (QP) Indicateur de Réserve de Marche Stop-seconde Petite Seconde |
Matière du boîtier : | Or rose |
Particularité du boitier : | Fond saphir |
Forme : | Ronde |
Etanchéité : | 30 mètres |
Couleur du cadran : | Argenté |
Affichage : | Aiguilles Feuille |
Index : | Chiffres arabes |
Verre : | Bombé Saphir Traitement anti-reflet |
Matière du bracelet : | Alligator |
Couleur du bracelet : | Marron foncé |
Fermeture du bracelet : | Boucle déployante |
+ Plus de caractéristiques : | Indication de l’année à quatre chiffres Phases perpétuelles de la lune (retard de 1 jour en 577 ans) Mouvement 62 rubis Remontage automatique Pellaton Spiral Breguet Masse oscillante avec médaillon en or jaune 18 ct Fréquence : 21 600 alternances / heure Réserve de marche : 7 jours (168 h) Boîtier et boucle en or rose 18 carats |
L’héritage des marins
En 2010, IWC a fêté ses légendaires montres Portugaise
En 2010, IWC a fêté l’une de ses familles de montres à la tradition la plus riche: en effet, les montres Portugaise entreront dans leur huitième décennie. Ces instruments de précision de grand format préservent encore aujourd’hui l’héritage des marins célèbres et le transmettent aux explorateurs d’aujourd’hui.
«Héros des mers, noble peuple…», ainsi commence l’hymne national portugais. Il est l’expression d’une mémoire collective au sein de laquelle les grands navigateurs portugais – Vasco de Gama, Bartholomeu Dias ou Fernando Magellan – continuent à vivre aujourd’hui encore. En 1934, Fernando Pessoa écrivit «Mar português» («Ô mer salée, combien de ton sel provient des larmes du Portugal'...»), un poème qui rend un vibrant hommage à l’héroïsme des navigateurs qui, les premiers, ont permis au Portugal d’acquérir une renommée mondiale. Cinq ans plus tard, en 1939, IWC livrait les premières montres Portugaise commandées par deux importateurs de Lisbonne et de Porto, à savoir des gardetemps de précision surdimensionnés et dotés de mouvements de montres de poche, dans la plus pure tradition des instruments nautiques. C’est ainsi que naquit une nouvelle catégorie de montres qui constituent aujourd’hui un élément important de l’identité d’IWC en matière d’horlogerie et qui sont les ambassadrices mondialement convoitées de la culture horlogère à son plus haut niveau.
En 2010, les montres Portugaise d’IWC sont entrées dans leur huitième décennie. Elles sont restées pleinement fidèles à leur héritage historique: clarté, dimensions, précision et mécanique exigeante. C’est cette famille de montres qui est aujourd’hui dotée de la plupart des complications de Haute Horlogerie d’IWC. L’inventivité d’IWC en matière d’horlogerie, merveilleusement mise en valeur dans des boîtiers dont le diamètre varie entre 40 et 45 millimètres, est impressionnante.
L’éternité revisitée
Portugaise Calendrier Perpétuel
C’est la montre Portugaise que l’on aurait pu imaginer au poignet de navigateurs célèbres. Celle des êtres savants dotés de la vision à long terme et de l’esprit pionnier nécessaire pour concevoir concrètement l’avenir. Car l’avenir ressort précisément de la compétence de cette machine à voyager dans le temps aussi belle qu’impressionante sur le plan technique. En son coeur bat toujours – sans céder en rien de sa complexité et de son génie originels – le calendrier perpétuel inventé il y a 25 ans, combiné avec un imposant calibre IWC de la famille des mouvements 50000, doté d’une réserve de marche de sept jours.
Une conjonction idéale pour une montre compliquée dotée d’un calendrier avec affichage de la date, du jour de la semaine, du mois ainsi que de l’année à quatre chiffres et avec indication perpétuelle des phases de la lune. Chacun de ces affichages est programmé mécaniquement, synchronisé avec les autres et fonctionne de manière totalement autonome. A l’exception d’une correction nécessaire à faire effectuer en février 2100 par un horloger, l’utilisateur n’a rien à faire. Par des mouvements de son bras, il procède à la recharge de la montre en énergie grâce à l’efficient remontage Pellaton à cliquets. Comme, contrairement à ce que l’on aurait pu penser, l’année 2100 évoquée plus haut ne sera pas bissextile (selon le calendrier grégorien complexe qui assure toujours des années presque constantes), elle ne comportera pas de jour intercalaire, ce qui nécessitera l’intervention d’un horloger. Par conséquent, il serait indiqué de transmettre cette information à son petit-fils ou arrière-petit-fils. A la fin (encore lointaine) du siècle, le curseur séculaire, qui fait suite à une longue chaîne d’engrenages, doit par ailleurs aussi être déplacé de quelques millimètres car, pour l’indication de l’année, le chiffre «21» doit venir remplacer le «20» actuel pour les cent années qui suivent.
En ce qui concerne la lune, la précision – scénarisée de façon très visible – de l’indication astronomique de la Portugaise Calendrier Perpétuel peut se comparer à celle des appareils de mesure scientifiques: pour ces modèles – et uniquement pour ceux-là –, les engrenages, en raison de l’espace à disposition, ont été modifiés pour aboutir à une précision inégalée de l’indication des phases de la lune. La représentation des phases de la lune ne diverge de la course effective de notre satellite que de 12 secondes par mois lunaire (à savoir 29 jours, 12 heures, 44 minutes et 3 secondes) en 577 ans. En d’autres termes: en l’état actuel des connaissances, seule la lune accrochée au firmament est encore plus précise, mais de très peu.
L’héritage des marins
En 2010, IWC a fêté ses légendaires montres Portugaise
En 2010, IWC a fêté l’une de ses familles de montres à la tradition la plus riche: en effet, les montres Portugaise entreront dans leur huitième décennie. Ces instruments de précision de grand format préservent encore aujourd’hui l’héritage des marins célèbres et le transmettent aux explorateurs d’aujourd’hui.
«Héros des mers, noble peuple…», ainsi commence l’hymne national portugais. Il est l’expression d’une mémoire collective au sein de laquelle les grands navigateurs portugais – Vasco de Gama, Bartholomeu Dias ou Fernando Magellan – continuent à vivre aujourd’hui encore. En 1934, Fernando Pessoa écrivit «Mar português» («Ô mer salée, combien de ton sel provient des larmes du Portugal'...»), un poème qui rend un vibrant hommage à l’héroïsme des navigateurs qui, les premiers, ont permis au Portugal d’acquérir une renommée mondiale. Cinq ans plus tard, en 1939, IWC livrait les premières montres Portugaise commandées par deux importateurs de Lisbonne et de Porto, à savoir des gardetemps de précision surdimensionnés et dotés de mouvements de montres de poche, dans la plus pure tradition des instruments nautiques. C’est ainsi que naquit une nouvelle catégorie de montres qui constituent aujourd’hui un élément important de l’identité d’IWC en matière d’horlogerie et qui sont les ambassadrices mondialement convoitées de la culture horlogère à son plus haut niveau.
En 2010, les montres Portugaise d’IWC sont entrées dans leur huitième décennie. Elles sont restées pleinement fidèles à leur héritage historique: clarté, dimensions, précision et mécanique exigeante. C’est cette famille de montres qui est aujourd’hui dotée de la plupart des complications de Haute Horlogerie d’IWC. L’inventivité d’IWC en matière d’horlogerie, merveilleusement mise en valeur dans des boîtiers dont le diamètre varie entre 40 et 45 millimètres, est impressionnante.
L’éternité revisitée
Portugaise Calendrier Perpétuel
C’est la montre Portugaise que l’on aurait pu imaginer au poignet de navigateurs célèbres. Celle des êtres savants dotés de la vision à long terme et de l’esprit pionnier nécessaire pour concevoir concrètement l’avenir. Car l’avenir ressort précisément de la compétence de cette machine à voyager dans le temps aussi belle qu’impressionante sur le plan technique. En son coeur bat toujours – sans céder en rien de sa complexité et de son génie originels – le calendrier perpétuel inventé il y a 25 ans, combiné avec un imposant calibre IWC de la famille des mouvements 50000, doté d’une réserve de marche de sept jours.
Une conjonction idéale pour une montre compliquée dotée d’un calendrier avec affichage de la date, du jour de la semaine, du mois ainsi que de l’année à quatre chiffres et avec indication perpétuelle des phases de la lune. Chacun de ces affichages est programmé mécaniquement, synchronisé avec les autres et fonctionne de manière totalement autonome. A l’exception d’une correction nécessaire à faire effectuer en février 2100 par un horloger, l’utilisateur n’a rien à faire. Par des mouvements de son bras, il procède à la recharge de la montre en énergie grâce à l’efficient remontage Pellaton à cliquets. Comme, contrairement à ce que l’on aurait pu penser, l’année 2100 évoquée plus haut ne sera pas bissextile (selon le calendrier grégorien complexe qui assure toujours des années presque constantes), elle ne comportera pas de jour intercalaire, ce qui nécessitera l’intervention d’un horloger. Par conséquent, il serait indiqué de transmettre cette information à son petit-fils ou arrière-petit-fils. A la fin (encore lointaine) du siècle, le curseur séculaire, qui fait suite à une longue chaîne d’engrenages, doit par ailleurs aussi être déplacé de quelques millimètres car, pour l’indication de l’année, le chiffre «21» doit venir remplacer le «20» actuel pour les cent années qui suivent.
En ce qui concerne la lune, la précision – scénarisée de façon très visible – de l’indication astronomique de la Portugaise Calendrier Perpétuel peut se comparer à celle des appareils de mesure scientifiques: pour ces modèles – et uniquement pour ceux-là –, les engrenages, en raison de l’espace à disposition, ont été modifiés pour aboutir à une précision inégalée de l’indication des phases de la lune. La représentation des phases de la lune ne diverge de la course effective de notre satellite que de 12 secondes par mois lunaire (à savoir 29 jours, 12 heures, 44 minutes et 3 secondes) en 577 ans. En d’autres termes: en l’état actuel des connaissances, seule la lune accrochée au firmament est encore plus précise, mais de très peu.
Ce modèle est remplacé courant 2010 par la référence IW502302 en or rouge.
Marque : | IWC |
Collection : | Portugaise |
Modèle : | Portugaise Calendrier Perpétuel |
Référence : | IW502213 |
Complément : | Or Rose |
Prix du neuf : | 26 300 € |
Diamètre : | 44.20 mm |
Epaisseur : | 15.50 mm |
Styles : | Classique Haute Horlogerie |
Types : | Mécanique à remontage automatique |
Calibre : | 51613 |
Complication : | Phases de Lune Calendrier Perpétuel (QP) Indicateur de Réserve de Marche Stop-seconde Petite Seconde |
Matière du boîtier : | Or rose |
Particularité du boitier : | Fond saphir |
Forme : | Ronde |
Etanchéité : | 30 mètres |
Couleur du cadran : | Argenté |
Affichage : | Aiguilles Feuille |
Index : | Chiffres arabes |
Verre : | Bombé Saphir Traitement anti-reflet |
Matière du bracelet : | Alligator |
Couleur du bracelet : | Marron foncé |
Fermeture du bracelet : | Boucle déployante |
Plus de caractéristiques : | Indication de l’année à quatre chiffres Phases perpétuelles de la lune (retard de 1 jour en 577 ans) Mouvement 62 rubis Remontage automatique Pellaton Spiral Breguet Masse oscillante avec médaillon en or jaune 18 ct Fréquence : 21 600 alternances / heure Réserve de marche : 7 jours (168 h) Boîtier et boucle en or rose 18 carats |