Richard Lange 'Pour le Mérite'

260.025

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Richard Lange 'Pour le Mérite'

Marque  : A. Lange & Söhne
Collection  : Richard Lange
Modèle  : Richard Lange 'Pour le Mérite'
Référence  : 260.025
Nbre de pièces : 50
Complément : Platine
Année : 2009
N'est plus commercialisé

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  • Marque  : A. Lange & Söhne
    Collection  : Richard Lange
    Modèle  : Richard Lange 'Pour le Mérite'
    Référence  : 260.025
    Nbre de pièces : 50
    Complément : Platine
    Année : 2009
    N'est plus commercialisé
    Prix du neuf : Sur demande
    Diamètre : 40.5 mm
    Epaisseur : 10.7 mm
    Styles : Haute Horlogerie
    Classique
    Types : Mécanique à remontage manuel
    Calibre : Lange L044.1
    Calibre distinction : Gravé main
    Décoré main
    Chronomètre
    Complication : Petite Seconde
    Matière du boîtier : Platine
    Particularité du boitier : Fond saphir
    dureté de 9
    Forme : Ronde
    Cadran : Email
    Couleur du cadran : Blanc
    Affichage : Aiguilles en acier bleui
    Index : Chiffres arabes
    Chiffres romains
    Verre : Saphir
    dureté de 9
    Matière du bracelet : Croco
    Couleur du bracelet : Marron foncé
    Fermeture du bracelet : Boucle ardillon
    + Plus de caractéristiques : Mouvement
    Réglage du mouvement en cinq positions
    Dispositif de transmission fusée-chaîne. assemblé et décoré à la main
    Platine trois quart en argent
    Coq de balancier. pont de roue d'échappement. pont de roue des secondes gravés à la main
    279 composants
    (+ 636 composants pour la chaîne)
    33 coussinets rubis
    2 chatons en or vissés
    Echappement à ancre
    Balancier à vis en Glucydur
    Spiral de balancier fabriqué en interne
    Ressort col de cygne
    Fréquence :
    21 600 alternances / heure
    Petites secondes avec arrêt secondes
    Réserve de marche de 36 heures

    Boucle ardillon en platine massif

DESCRIPTION

  • Précise, toujours plus précise, la RICHARD LANGE « Pour le Mérite »

    La troisième montre-bracelet Lange avec dispositif de transmission fusée-chaîne perpétue la tradition des montres d’observation entièrement dédiées à la mesure précise du temps. Cette rareté horlogère avec son cadran tripartite en émail, a de célèbres prédécesseurs dans l’histoire.

    Le chronomètre de poche, garde-temps de l’élite scientifique, a toujours constitué une rareté convoitée. Il remonte, chez A. Lange & Söhne, aux environs de 1880, lorsque Richard Lange, fils aîné du fondateur de la marque et directeur technique de l’affaire familiale, influençait déjà l’industrie de l’horlogerie de précision. Au total, seuls quelque trente de ces garde-temps hors du commun avaient été fabriqués. Le chronomètre avec dispositif de transmission fusée-chaîne vit aujourd’hui une renaissance sous la forme d’une montre-bracelet exclusive, entièrement et uniquement dédiée à la précision mécanique, sans autre complication. Son nom ' La RICHARD LANGE « Pour le Mérite ».

    À l’instar du TOURBILLON de la première collection et du TOURBOGRAPH de 2005, ce modèle RICHARD LANGE porte la distinction « Pour le Mérite », laquelle est réservée, chez Lange, aux complications peu communes comme le dispositif de transmission fusée-chaîne. Cette appellation renvoie à l’ordre du mérite qui, institué en 1842 par l’éminent explorateur Alexander von Humboldt, récompense toujours de grands scientifiques et artistes. Mais cette distinction pouvait aussi parfaitement convenir comme hommage aux fondateurs de l’industrie horlogère saxonne de précision. L’un d’entre eux, Richard Lange, enrichit l’horlogerie de nombreuses inventions, dont la plus notable est l’alliage acier-nickel pour spiral de balancier qu’il breveta en 1930. Cet alliage contient du béryllium, lequel rend les spiraux thermiquement stables et résistants aux champs magnétiques. Il continue d’être largement utilisé de nos jours, pour ces mêmes qualités.

    La RICHARD LANGE « Pour le Mérite » est le second membre d’une famille de montres explicitement dédiée à  l’amélioration de la précision dans la mesure du temps. La première montre du même nom, extraordinaire garde-temps à trois aiguilles issu de la tradition des montres scientifiques d’observation, a constitué un modèle d’exactitude et de limpidité de style. Le nouveau garde-temps est, comme lui, doté d’un boîtier en platine ou en or rose mais d’un diamètre qui, porté à 40,5 millimètres, améliore sensiblement la lisibilité. D’une grande pureté d’agencement, le cadran tripartite en émail blanc porte des chiffres romains étroits noirs pour les heures et de petits chiffres arabes rouges comme index des 15, 30, 45 et 60 minutes. Trente procédures très élaborées sont nécessaires à la fabrication de chacun des trois cadrans auxiliaires. Le résultat ' Un visage en émail immaculé constituant une toile de fond brillamment contrastée pour les classiques aiguilles en acier bleui. Un guichet du cadran aurait pu s’ouvrir sur le mécanisme fusée-chaîne (vue de face). On s’en est délibérément passé afin que rien ne vienne distraire l’œil de l’heure exacte.  

    Plus efficace qu’un tourbillon

    La seconde RICHARD LANGE concentre donc aussi l’attention de son propriétaire sur l’objectif de toute ambition horlogère : le plus grand degré de précision possible. Elle repose sur une construction ingénieuse : une transmission fondée sur le principe fusée-chaîne utilisé dès le XVe siècle, notamment par Léonard de Vinci. Dans son livre de référence intitulé Watchmakers and Clockmakers of the World, G. H. Baillie en parle ainsi : « Aucun problème mécanique n’a semble-t-il jamais été résolu d’aussi simple et parfaite manière ». Fabriquer ce mécanisme complexe à une dimension adaptée à celles d’une montre-bracelet requiert cependant un savoir-faire et une dextérité exceptionnels. Ceci explique pourquoi il est aujourd’hui bien plus rare que le tourbillon. Il se révèle pourtant bien plus efficace dans une montre-bracelet car il compense l’inconvénient majeur du mécanisme de remontage – à savoir l’inévitable perte de couple – en exploitant intelligemment le principe du levier.

    Le dispositif de transmission fusée-chaîne compense le déclin d’énergie du spiral, maintenant un couple constant durant toute la période couverte par la réserve de marche. À cet effet, la transmission, habituellement assumée par le seul barillet, se partage entre deux composants : le barillet et la fusée adjacente qui lui est reliée. Les deux composants sont connectés par une fine chaîne qui, dans le cas de la RICHARD LANGE « Pour le Mérite », est constituée de 636 composants distincts. À une extrémité, cette chaîne est attachée à la plus large circonférence de la fusée et à l’autre, à la périphérie du barillet. Un sillon est fraisé à la surface conique de la fusée qui mène au point le plus étroit, comme un chemin spiralé conduit au sommet d’une montagne. Lorsque la montre est en cours de remontage, la chaîne se déroule de la paroi externe du barillet et s’enroule autour de la fusée jusqu’à ce qu’elle soit parvenue au sommet du cône. À ce stade la circonférence de la fusée (c’est-à-dire l’amplitude de son bras de levier) est petite mais le couple délivré par le ressort-moteur est élevé. À mesure que le ressort-moteur se détend, sa puissance faiblit. Mais à mesure que la chaîne se déroule de la fusée pour revenir s’enrouler autour du barillet, la longueur de son bras de levier (la circonférence utile de la fusée) augmente à mesure que le couple du spiral décline. Ceci résulte en un couple constant au niveau de l’arbre de la fusée et donc en une amplitude constante du balancier.

    Un opus horloger 

    Ce système complexe ne peut fonctionner parfaitement que si trois précautions supplémentaires sont prises. La première consiste en un système qui bloque la procédure de remontage avant que le ressort-moteur ne soit complètement retendu et empêche ainsi la chaîne de se rompre. Dans ce mécanisme, le mouvement vertical de la chaîne est utilisé pour activer un complexe système de leviers qui bloque la roue à rochet au moment adéquat. La deuxième précaution consiste en un mécanisme qui arrête le mouvement avant que le ressort-moteur ne soit entièrement détendu. Cette fonction est assumée par une roue de réserve de marche modifiée qui contrôle un levier stop. Au bout de 36 heures exactement, le levier tombe entre deux dents de la roue. Assisté d’un ressort, le plus long bras du levier entre dans le rayon d’action d’un doigt de forme spéciale placé sur l’arbre de la roue des secondes. L’arbre est arrêtée lorsque les deux éléments entrent en contact. L’aiguille des secondes reste dans la position de 12 heures et reste dans cette position. Enfin, le dispositif de transmission fusée-chaîne nécessite une construction capable de garantir que la transmission ne s’arrêtera pas pendant que la montre est en cours de remontage. Un complexe engrenage différentiel à l’intérieur de la fusée préserve, durant la phase de remontage, le flux d’énergie circulant de la fusée jusqu’au mouvement. Les détails les plus intéressants comme la chaîne, le mécanisme de blocage et la roue à rochet sur la fusée à engrenage différentiel sont visibles à travers des guichets ménagés dans la platine trois quarts minutieusement décorée. 

    Un autre détail illustre le niveau auquel les constructeurs de calibres poursuivent leur quête de la précision. Afin de trouver le meilleur rapport d’harmonie entre les caractéristiques du ressort-moteur et celles de la fusée, la période de fonctionnement de 36 heures du ressort-moteur peut être réglée en fonction du couple le plus élevé ou le plus faible. Ce réglage peut être réalisé par un horloger, au moyen d’un outil exclusif Lange qui engrène avec un rochet de pré-tension sur le barillet. Le réglage est bloqué au moyen d’un cliquet. Situé au-dessus de la platine trois quarts, ce mécanisme est aisément accessible. 

    Le mouvement exclusif calibre L044.1 est alimenté par un échappement sans raquette qui oscille à une fréquence de 21 600 alternances à l’heure et dispose d’une réserve de marche de 36 heures lorsque la montre est remontée à fond. Il intègre un spiral produit en interne et adapté avec précision au système oscillant et aux caractéristiques du mouvement. À son tour, le moment d’inertie de la grande roue de balancier (avec ses 18 vis d’inertie et ses 4 vis d’équilibrage, toutes en or massif) correspond exactement au couple délivré par la fusée. Tous les composants du mouvement complexe à remontage manuel sont fabriqués selon les très rigoureux critères de qualité Lange et minutieusement décorés. Outre le coq de balancier, le pont indépendant de la roue d’échappement et de la roue des secondes est également gravé à la main. Les maîtres-horlogers de chez Lange décorent avec la même minutie les composants du mouvement qui ne sont pas visibles. À l’évidence, la RICHARD LANGE « Pour le Mérite » n’est pas seulement un instrument horloger de précision techniquement sophistiqué mais aussi une œuvre d’art horlogère d’une stupéfiante beauté. 
  • Précise, toujours plus précise, la RICHARD LANGE « Pour le Mérite »

    La troisième montre-bracelet Lange avec dispositif de transmission fusée-chaîne perpétue la tradition des montres d’observation entièrement dédiées à la mesure précise du temps. Cette rareté horlogère avec son cadran tripartite en émail, a de célèbres prédécesseurs dans l’histoire.

    Le chronomètre de poche, garde-temps de l’élite scientifique, a toujours constitué une rareté convoitée. Il remonte, chez A. Lange & Söhne, aux environs de 1880, lorsque Richard Lange, fils aîné du fondateur de la marque et directeur technique de l’affaire familiale, influençait déjà l’industrie de l’horlogerie de précision. Au total, seuls quelque trente de ces garde-temps hors du commun avaient été fabriqués. Le chronomètre avec dispositif de transmission fusée-chaîne vit aujourd’hui une renaissance sous la forme d’une montre-bracelet exclusive, entièrement et uniquement dédiée à la précision mécanique, sans autre complication. Son nom ' La RICHARD LANGE « Pour le Mérite ».

    À l’instar du TOURBILLON de la première collection et du TOURBOGRAPH de 2005, ce modèle RICHARD LANGE porte la distinction « Pour le Mérite », laquelle est réservée, chez Lange, aux complications peu communes comme le dispositif de transmission fusée-chaîne. Cette appellation renvoie à l’ordre du mérite qui, institué en 1842 par l’éminent explorateur Alexander von Humboldt, récompense toujours de grands scientifiques et artistes. Mais cette distinction pouvait aussi parfaitement convenir comme hommage aux fondateurs de l’industrie horlogère saxonne de précision. L’un d’entre eux, Richard Lange, enrichit l’horlogerie de nombreuses inventions, dont la plus notable est l’alliage acier-nickel pour spiral de balancier qu’il breveta en 1930. Cet alliage contient du béryllium, lequel rend les spiraux thermiquement stables et résistants aux champs magnétiques. Il continue d’être largement utilisé de nos jours, pour ces mêmes qualités.

    La RICHARD LANGE « Pour le Mérite » est le second membre d’une famille de montres explicitement dédiée à  l’amélioration de la précision dans la mesure du temps. La première montre du même nom, extraordinaire garde-temps à trois aiguilles issu de la tradition des montres scientifiques d’observation, a constitué un modèle d’exactitude et de limpidité de style. Le nouveau garde-temps est, comme lui, doté d’un boîtier en platine ou en or rose mais d’un diamètre qui, porté à 40,5 millimètres, améliore sensiblement la lisibilité. D’une grande pureté d’agencement, le cadran tripartite en émail blanc porte des chiffres romains étroits noirs pour les heures et de petits chiffres arabes rouges comme index des 15, 30, 45 et 60 minutes. Trente procédures très élaborées sont nécessaires à la fabrication de chacun des trois cadrans auxiliaires. Le résultat ' Un visage en émail immaculé constituant une toile de fond brillamment contrastée pour les classiques aiguilles en acier bleui. Un guichet du cadran aurait pu s’ouvrir sur le mécanisme fusée-chaîne (vue de face). On s’en est délibérément passé afin que rien ne vienne distraire l’œil de l’heure exacte.  

    Plus efficace qu’un tourbillon

    La seconde RICHARD LANGE concentre donc aussi l’attention de son propriétaire sur l’objectif de toute ambition horlogère : le plus grand degré de précision possible. Elle repose sur une construction ingénieuse : une transmission fondée sur le principe fusée-chaîne utilisé dès le XVe siècle, notamment par Léonard de Vinci. Dans son livre de référence intitulé Watchmakers and Clockmakers of the World, G. H. Baillie en parle ainsi : « Aucun problème mécanique n’a semble-t-il jamais été résolu d’aussi simple et parfaite manière ». Fabriquer ce mécanisme complexe à une dimension adaptée à celles d’une montre-bracelet requiert cependant un savoir-faire et une dextérité exceptionnels. Ceci explique pourquoi il est aujourd’hui bien plus rare que le tourbillon. Il se révèle pourtant bien plus efficace dans une montre-bracelet car il compense l’inconvénient majeur du mécanisme de remontage – à savoir l’inévitable perte de couple – en exploitant intelligemment le principe du levier.

    Le dispositif de transmission fusée-chaîne compense le déclin d’énergie du spiral, maintenant un couple constant durant toute la période couverte par la réserve de marche. À cet effet, la transmission, habituellement assumée par le seul barillet, se partage entre deux composants : le barillet et la fusée adjacente qui lui est reliée. Les deux composants sont connectés par une fine chaîne qui, dans le cas de la RICHARD LANGE « Pour le Mérite », est constituée de 636 composants distincts. À une extrémité, cette chaîne est attachée à la plus large circonférence de la fusée et à l’autre, à la périphérie du barillet. Un sillon est fraisé à la surface conique de la fusée qui mène au point le plus étroit, comme un chemin spiralé conduit au sommet d’une montagne. Lorsque la montre est en cours de remontage, la chaîne se déroule de la paroi externe du barillet et s’enroule autour de la fusée jusqu’à ce qu’elle soit parvenue au sommet du cône. À ce stade la circonférence de la fusée (c’est-à-dire l’amplitude de son bras de levier) est petite mais le couple délivré par le ressort-moteur est élevé. À mesure que le ressort-moteur se détend, sa puissance faiblit. Mais à mesure que la chaîne se déroule de la fusée pour revenir s’enrouler autour du barillet, la longueur de son bras de levier (la circonférence utile de la fusée) augmente à mesure que le couple du spiral décline. Ceci résulte en un couple constant au niveau de l’arbre de la fusée et donc en une amplitude constante du balancier.

    Un opus horloger 

    Ce système complexe ne peut fonctionner parfaitement que si trois précautions supplémentaires sont prises. La première consiste en un système qui bloque la procédure de remontage avant que le ressort-moteur ne soit complètement retendu et empêche ainsi la chaîne de se rompre. Dans ce mécanisme, le mouvement vertical de la chaîne est utilisé pour activer un complexe système de leviers qui bloque la roue à rochet au moment adéquat. La deuxième précaution consiste en un mécanisme qui arrête le mouvement avant que le ressort-moteur ne soit entièrement détendu. Cette fonction est assumée par une roue de réserve de marche modifiée qui contrôle un levier stop. Au bout de 36 heures exactement, le levier tombe entre deux dents de la roue. Assisté d’un ressort, le plus long bras du levier entre dans le rayon d’action d’un doigt de forme spéciale placé sur l’arbre de la roue des secondes. L’arbre est arrêtée lorsque les deux éléments entrent en contact. L’aiguille des secondes reste dans la position de 12 heures et reste dans cette position. Enfin, le dispositif de transmission fusée-chaîne nécessite une construction capable de garantir que la transmission ne s’arrêtera pas pendant que la montre est en cours de remontage. Un complexe engrenage différentiel à l’intérieur de la fusée préserve, durant la phase de remontage, le flux d’énergie circulant de la fusée jusqu’au mouvement. Les détails les plus intéressants comme la chaîne, le mécanisme de blocage et la roue à rochet sur la fusée à engrenage différentiel sont visibles à travers des guichets ménagés dans la platine trois quarts minutieusement décorée. 

    Un autre détail illustre le niveau auquel les constructeurs de calibres poursuivent leur quête de la précision. Afin de trouver le meilleur rapport d’harmonie entre les caractéristiques du ressort-moteur et celles de la fusée, la période de fonctionnement de 36 heures du ressort-moteur peut être réglée en fonction du couple le plus élevé ou le plus faible. Ce réglage peut être réalisé par un horloger, au moyen d’un outil exclusif Lange qui engrène avec un rochet de pré-tension sur le barillet. Le réglage est bloqué au moyen d’un cliquet. Situé au-dessus de la platine trois quarts, ce mécanisme est aisément accessible. 

    Le mouvement exclusif calibre L044.1 est alimenté par un échappement sans raquette qui oscille à une fréquence de 21 600 alternances à l’heure et dispose d’une réserve de marche de 36 heures lorsque la montre est remontée à fond. Il intègre un spiral produit en interne et adapté avec précision au système oscillant et aux caractéristiques du mouvement. À son tour, le moment d’inertie de la grande roue de balancier (avec ses 18 vis d’inertie et ses 4 vis d’équilibrage, toutes en or massif) correspond exactement au couple délivré par la fusée. Tous les composants du mouvement complexe à remontage manuel sont fabriqués selon les très rigoureux critères de qualité Lange et minutieusement décorés. Outre le coq de balancier, le pont indépendant de la roue d’échappement et de la roue des secondes est également gravé à la main. Les maîtres-horlogers de chez Lange décorent avec la même minutie les composants du mouvement qui ne sont pas visibles. À l’évidence, la RICHARD LANGE « Pour le Mérite » n’est pas seulement un instrument horloger de précision techniquement sophistiqué mais aussi une œuvre d’art horlogère d’une stupéfiante beauté. 
  • Marque  : A. Lange & Söhne
    Collection  : Richard Lange
    Modèle  : Richard Lange 'Pour le Mérite'
    Référence  : 260.025
    Nbre de pièces : 50
    Complément : Platine
    Année : 2009
    N'est plus commercialisé
    Prix du neuf : Sur demande
    Diamètre : 40.5 mm
    Epaisseur : 10.7 mm
    Styles : Haute Horlogerie
    Classique
    Types : Mécanique à remontage manuel
    Calibre : Lange L044.1
    Calibre distinction : Gravé main
    Décoré main
    Chronomètre
    Complication : Petite Seconde
    Matière du boîtier : Platine
    Particularité du boitier : Fond saphir
    dureté de 9
    Forme : Ronde
    Cadran : Email
    Couleur du cadran : Blanc
    Affichage : Aiguilles en acier bleui
    Index : Chiffres arabes
    Chiffres romains
    Verre : Saphir
    dureté de 9
    Matière du bracelet : Croco
    Couleur du bracelet : Marron foncé
    Fermeture du bracelet : Boucle ardillon
    Plus de caractéristiques : Mouvement
    Réglage du mouvement en cinq positions
    Dispositif de transmission fusée-chaîne. assemblé et décoré à la main
    Platine trois quart en argent
    Coq de balancier. pont de roue d'échappement. pont de roue des secondes gravés à la main
    279 composants
    (+ 636 composants pour la chaîne)
    33 coussinets rubis
    2 chatons en or vissés
    Echappement à ancre
    Balancier à vis en Glucydur
    Spiral de balancier fabriqué en interne
    Ressort col de cygne
    Fréquence :
    21 600 alternances / heure
    Petites secondes avec arrêt secondes
    Réserve de marche de 36 heures

    Boucle ardillon en platine massif